L'INDEX DE TOUS LES LIENS COMMENTÉS :
  • C'EST ICI !!!
  • C'EST LÀ !!!
  • C'EST ICI & LÀ !!!
  • POUR EN REVENIR À L'ORIGINAL, CLICQUEZ CI-DESSOUS :
  • OUI, C'EST BIEN ICI !

  • mardi, octobre 27, 2009

    THE LIFE...

    La vie, bien sûr !
    Pour tout dire, suite à la mort récente d'une tante insupportable, je me suis tapé ce soir le sublimissime Ghost Dog de Jim Jarmush, qui cite entre autres l'essentielle œuvre japonaise du fameux Yukio Mishima (三島由紀夫, 1925-1970), Le Japon Moderne et l'Éthique Samouraï, en réalité le Hagakure (葉隠れ) du bien plus ancien Jôchô Yamamoto (山本常朝, 1659-1719), un livre majeur d'à peine une centaine de pages sur les principes fondamentaux de la vie, à lire absolument (meilleure preuve, c'est que Forest Whitaker l'offre dans le film à sa jeune fille voisine, juste avant de mourir !) :
    Alors certes, il faut aimer pour ceci le très particulier esprit samouraï... Mais bon, c'est mon propre cas, tout comme Tom Cruise dans le tout aussi génial film d'Edward Zwick (Le Dernier Samouraï, justement), et du reste également comme certains musiciens que je connais, car dans notre profession, ceci reste en quelque sorte plutôt indispensable !
    "Je découvris que la Voie du samouraï, c'est la mort (...). Si l'on veut devenir un parfait samouraï, il est nécessaire de se préparer à la mort matin et soir et jour après jour. Le samouraï qui est constamment préparé à la mort, celui-là a maîtrisé la Voie du samouraï et saura sans jamais faillir vouer sa vie au service de son seigneur" (葉隠れ, p.48). Mon propre seigneur étant bien sûr la musique, il s'agit pour moi d'un principe fort évident - et plus ça va, moins ceci me fait curieusement flipper, conformément à la loi japonaise...  Même si bon, ceci ne sera pas franchement drôle pour tous les autres (thanks, Mantegna !) :
    Autre principe que j'adore, même s'il semble souvent bizarroïde à beaucoup de gens : "Ma conviction est que la forme ultime de l'amour, c'est l'amour secret. Partagé, l'amour diminue de stature. Se consumer d'amour tout au long de sa vie, mourir d'amour sans avoir prononcé le nom chéri, là est la vraie signification de l'amour" (葉隠れ, p.77). C'est particulièrement vrai dans mon cas, car étant donné les 25 ans de la jeune fille dont je suis plutôt amoureux, va-t-on dire, jamais je ne me permettrais de lui déclarer mes moindres sentiments. Disons qu'histoire de ne pas rester sans image, je vais mettre cette autre jeune fille que j'aime beaucoup, de loin (et que beaucoup de gens détestent, ça, c'est en général un très bon signe du génie), Uma Thurman :
    Autre phrase fondamentale, que je cite très souvent à mes élèves musiciennes, car c'est un essentiel principe du déchiffrage, en général : "Il existe un certain état d'esprit qu'on a pu appeler "état d'esprit du temps de pluie". Quand on se trouve pris sous une averse soudaine, on peut essayer de ne pas se faire mouiller en courant de toutes ses forces ou en cheminant sous l'avancée des toits ; mais quoi qu'on fasse, on sera trempé. Si l'on est mentalement préparé dès le départ à être mouillé, on ne sera pas le moins du monde dépité lorsque cela se produira. C'est là une attitude profitable en toutes circonstances" (葉隠れ, p.115). Ce qui, comme chacun sait, est mon propre cas en matière de chaussures, non seulement concernant ma centaine de baskets que les gens trouvent souvent très zarbis, mais aussi les chaussures de femmes, qui me font très souvent fantasmer à 200% (à voir très précisément ici sur l'un de mes quatre sites !) :
    Bon. Cet article ne fut pas très facile à écrire, enfin non, disons plutôt facile, mais tout de même assez long... Alors je vais me permettre de conclure avec cette très géniale sentence du maître japonais en question : "La vie humaine ne dure qu'un instant. Passons-le donc à faire ce qui nous plaît. En ce monde fugace comme un songe, c'est folie que de vivre misérablement, adonné aux seules choses qui nous rebutent. C'est là un secret de métier qui risque de s'avérer nuisible si on l'interprète mal et que j'ai donc décidé de ne pas transmettre aux jeunes gens. Face à la situation actuelle du monde, je pense que je vais rester chez moi et dormir" (葉隠れ, p.84).
    Adoncques, voilà, je pense que je vais faire tout de suite la même chose... Tout ce que j'espère avoir accompli (à part encourager votre volonté de vie), c'est de m'être montré suffisamment convaincant pour vous donner envie :
    1) D'acheter (voire d'emprunter) le livre de Mishima/Yamamoto dans la traduction de chez Gallimard
    2) De voir ou de revoir le très génial film de Jim Jarmusch, Ghost Dog...
    3) Et bien sûr, le tout aussi géant de Sofia Coppola, Lost in Translation (sans même parler de son sublime Marie Antoinette, que j'adore) !
    Vous verrez, vous ne regretterez sûrement rien, dans ce très joli tas...

    Libellés : , , ,

    lundi, octobre 26, 2009

    THE DEATH...

    La mort, quoi, en résumé...
    Parce qu'il se trouve qu'aujourd'hui, je viens tout juste d'apprendre que l'une de mes tantes vient de passer de l'autre côté de la barrière à l'âge vénérable de 85 ans, et pour être très honnête : et bien je n'en ai franchement rien à foutre, en résumé, d'autant plus que ceci me terrifie de moins en moins, même dans mon propre cas...
    Toujours est-il qu'en visitant pour la première fois de ma vie Wien il y a deux ans, j'ai découvert vis-à-vis du même thème cette fabuleuse fresque du fort réputé Gustav Klimt (1862-1918), très expressive, je trouve (j'ai vraiment adoré ce tableau !) :
    En gros : celui qui est sur la gauche, il va de toute façon forcément finir par nous frapper un de ces quatre... Alors en attendant, ne pourrions-nous pas nous comporter comme les gens à droite de ce chef-d'œuvre, qui ont juste l'air d'être en harmonie, en affection, en art, en communication et en bonheur, tout simplement ?
    Bref, vu que la plupart des adultes que je connais ont déjà oublié toute cette morale, avant même, peut-être, de la connaître, ceci me dépasse tout simplement, en résumé... Du coup, je crois que je n'en aurait même pas les larmes aux yeux si jamais il arrivait à certains d'entre eux de finir comme le sublime tableau du bœuf écorché de Rembrandt (1606-1669, très critiqué de son temps :
    Enfin bon, peu importe... Raison pour laquelle je me suis de nouveau retrouvé ce soir dans le très fameux B 74 dont j'ai récemment parlé, en prime en compagnie de deux personnes de près de 70 ans, dont le cerveau reste toujours autour de la trentaine, ce qui est vraiment cool, n'est-ce pas ?
    Du coup, comme ce sublime restaurant est axé autour des trois seules teintes fuschia/blanc/noir, j'ai personnellement mis ce soir un point d'honneur à porter ce nouveau T-Shirt que j'adore (de la très fameuse marque que je vous recommande, bon marché, très inventive, très drôle, et d'excellente qualité) :
    Hum, citation de qui ? Oui, je sais, vous allez trouver tout de suite, tellement ce film est géant... Et du coup, vu mon goût particulier que certaines personnes ne supportent pas, obligatoire d'y associer en pure harmonie ces célèbres Reebok Freestyle des mêmes teintes noires et roses :
    Je les adore trop, tellement elles sont confortables et magnifiques, je trouve ! Sans même citer les sublimissimes bottes 24400-T de la fameuse marque Buffalo dont j'ai très récemment parlé ici...
    En attendant, juste une chose à dire pour tous les méfiants qui ne croient pas à l'astrologie (vieille de plus de 3000 ans, tout de même, presque comme le Yi King... Autrement dit, si c'était vraiment de la daube, ceci serait depuis longtemps tombé à la poubelle, je pense, beaucoup plus qu'un autre célèbre ouvrage datant de seulement 2000 ans, avec déjà pas mal de bons passages, dans le genre) : Nescit homo finem suum : sed sicut pisces capiuntur hamo, et sicut aves laqueo comprehenduntur, sic capiuntur homines in tempore malo, cùm eis extemplò supervenerit...
    Pensez-y bien !

    Libellés : , , , , , , , , ,

    vendredi, octobre 23, 2009

    MANGER... FAIM !

    Car ce fut pour moi une très bonne semaine...
    Normalement, je ne mange pas très souvent au restaurant, mais alors là, j'ai eu la chance de pouvoir inverser le processus, autrement dit m'offrir trois repas durant la même semaine ! À commencer mercredi 21 octobre, juste avant mes auditions au Conservatoire du XVIème, dans le fabuleux restaurant japonais Sushi Gourmet (1, rue de l'Assomption, donc très proche de Radio France) :
    Dirigé par un chef extrêmement doué, mais en plus très sympathique, Mr Yukiharu Yagi (喜春八木さん) :
    Juste avant une nouvelle occasion dans ce même restaurant, vendredi 23 octobre, cette fois-ci en compagnie de Charlotte et de sa toute récente fille Ondine - une grande amie qui fut longtemps professeur au même endroit, mais hélas désormais en Suisse :
    Comme elle ne vient plus si souvent à Paris, j'étais du coup très content de la revoir, d'autant qu'elle est particulièrement belle et sympathique (normal, vu que deux fois signe d'air, like me), et tout aussi content de découvrir Ondine, née au mois de mai, elle aussi très agréable, sans même oser pleurer ou crier durant une bonne heure et demie, bref, cool, tout ça !
    Tout comme moi, Charlotte adore ce restaurant, et il faut bien dire que ceci n'a rien d'étonnant, puisque si vous lisez toutes les très nombreuses critiques, vous vous apercevrez que presque tout le monde le qualifie du meilleur de Paris. Alors certes, il est minuscule (14 places, à tout casser), mais comme très souvent dans le pays originel, d'une décoration tout à la fois très sobre et très jolie :
    En entrée offerte, les très fameuses fèves de soja vert (j'adore ça) :
    Puis le sublime Misoshiru (味噌汁) :
    La soupe favorite des japonais, bien sûr :
    Si délicieuse qu'à la suite de cette entrée, j'étais tellement absorbé par les géniaux sashimis (刺身) et la très agréable discussion avec Charlotte, que je n'ai même plus pensé à faire de belles photos de près - quitte à me rattraper in extremis à la fin du repas sur la table du chef :
    Bref... Dans l'ensemble, vu son niveau fabuleux, un menu de trois plats à seulement 19€ (ce qui est très loin d'être toujours le cas dans la fameuse rue Sainte-Anne), avec souvent d'autres propositions à la carte suivant les poissons ou les coquillages du jour, et bien sûr, le très fameux saké (酒), dont l'alliance avec le sashimi (刺身) est réputée - à juste titre - idéale :
    En résumé, j'adore ce restaurant et son chef, du coup, je me révèle toujours très content de faire des concerts au Conservatoire du XVIème :
    Et comme le montrent ces ultimes photos, quelque part, il y a un endroit où il s'avère que la cuisine et la musique peuvent avoir certains points communs :
    Un grand chef, tout comme un grand chef d'orchestre, ou un grand pianiste, et bien l'on s'aperçoit en le voyant qu'il est absolument concentré à 200%, qu'il recherche la perfection en permanence, et peut-être même qu'il transmet d'une certaine façon son amour des gens tout comme les musiciens... En tout cas, c'est bel et bien ce que j'ai ressenti ce soir, et vu la compagnie de Charlotte et d'Ondine très calme et très gentille, ce fut vraiment une magnifique soirée !
    Sans compter que le lendemain même, je me suis retrouvé en prime avec la fameuse artiste Cécile que j'adore, pour fêter son anniversaire dans un autre génial restaurant français ouvert depuis peu à 50 mètres de chez moi - l'excellent B 74 (74, adoncques, rue de Tocqueville, 75017), dont j'ai beaucoup parlé sur mon site d'architecture, très précisément à voir ici...
    Excellent Saumon mariné façon 74, émulsion exotique à la coco, en entrée :
    Suivi pour ma part des magiques Gambas déshabillées, piquées de citronelle, risotto crémeux aux asperges :
    En résumé, ce fut un soir tout aussi génial que les autres !
    Alors voilà, du coup, ceci fait trois sublimes restaurants durant la même semaine... Bon, c'est peut-être, au total, un tout petit peu cher au final, mais si je n'y vais plus durant un bon mois, tout va très facilement s'équilibrer, et donc : aucun problème !
    You know what : I'm happy !

    Libellés : , ,

    jeudi, octobre 01, 2009

    ET VOICI, ENFIN LE CONCOURS !

    Dont je m'occupe depuis 15 bons jours !
    Bon. Certes, nous ne sommes encore là que le 25 septembre (l'anniversaire de ma naissance du 25 janvier), donc je trouve en fait ceci très cool d'avoir pu réussir à terminer relativement rapidement ce concours habituel, qui m'a pris un temps fou l'an dernier...
    En résumé : lisez bien tous les articles, et tentez éventuellement votre chance ici, comme dit précédemment... Car mine de rien, il y a sinon tout ceci à se taper :
    Bizz à tout le monde !

    Libellés : , , , , , ,