L'INDEX DE TOUS LES LIENS :
  • C'EST ICI !
  • POUR EN REVENIR À L'ORIGINAL :
  • C'EST LÀ !

  • samedi, février 29, 2020

    16) JAPON : LE MARIAGE

    L'année où j'effectuais mon premier voyage au Japon était 1986... Mais il faudra que j'attende l'année suivante pour rencontrer, dans la même classe que moi au CNSM de Paris, ma très bonne copine japonaise, Fumie Ito !
    Au début, certes, nous ne parlions pas de mariage, et nous nous contentions de vivre ensemble… Hélas pour elle, le gouvernement se fit de plus en plus sensible, et menaçait de la rapatrier si elle n'avait pas au moins un membre de la famille qui habitait en France - et cela était valable même si c'était son seul mari ! Raison pour laquelle je me dépêchais de me marier en personne, tout d'abord sous une forme très rapide, bien obligatoire, mais petit à petit sous une forme bien plus lente et aristocratique, le 23 décembre 1990 au Japon, où je retournais pour la seconde fois :
    Était-ce une part de belle-famille ? Je n'en sais plus trop rien, à vrai dire :
    Mais par contre, c'était bien sûr sa famille… Son père, sa mère, et son unique sœur :
    Plus son grand-père, inévitablement :
    Chose à naturellement savoir, c'est que le mariage a presque toujours lieu selon le rite shintoïste :
    Au cours duquel on boit naturellement du saké, d'abord moi :
    Puis elle, bien sûr :
    Fascinant, n'est-ce pas ?
    Voici donc toute sa famille, prête à dîner, les plus directs se trouvant à droite :
    Et nous prenons la toute première photo officielle, avec le père et la mère chacun à l'un des deux côtés :
    Avec, bien entendu, le premier discours obligatoire :
    Juste avant de débuter le repas, vêtue d'une robe différente :
    Et bien sûr, tournée avant tout vers son grand-père :
    Même si cela n'exclut pas aussi de se démarquer vers quelqu'un d'autre - bien que je ne sache plus très bien de qui il s'agit :
    Et retour, encore une fois, sur les grands-parents :
    Durant le repas, petite interruption, destinée à continuer le discours - mais cette fois-ci, avec une robe différente, nous l'avons déjà dit :
    Puis vint inéluctablement la dernière photo :
    Et bien sûr les adieux :
    En gros, cela fut donc très sérieux… Et bien que sa mère n'approuvait pas fondamentalement ce mariage, il se prolongea tout de même une bonne dizaine d'années ! D'ailleurs, nous nous remariâmes une troisième fois le 20 avril 1991, cette fois-ci en France, avec mes parents et à l'église de Levallois-Perret, ce qui fut aussi très bien (surtout avec la Toccata et Fugue en Ut majeur de Johann Sebastian Bach, et grâce au filet de Col-Vert aux Lactaires une fois au restaurant)...
    A la suite de ces dix ans, une impossibilité - de ma part - d'avoir un enfant contribua à notre séparation, hélas… Mais cette mise en couple fut très agréable, et ceci dès l'une des première photo, en 1987 :
    Et bien sûr au cours d'une seconde, où nous étions tous les deux à près de 3000 mètres dans le massif des Cerces - où nous sommes allés relativement souvent, mine de rien :
    Vient ensuite le point le plus haut, en 1992, où nous sommes montés à Zermatt à la conquête du Breithorn et de ses 4164 mètres - en compagnie d'un guide, bien sûr :
    Evidemment, la vraie phase finale eut lieu, bien sûr, quelques années plus tard :
    Mais ceci n'enlève rien au charme de cette personne… Qui riait d'une façon quasi constante, et portait en outre le surnom de Fufu, le vrai sens de "Fumie" étant, pour le moins, très particulier en français !

    Libellés : , ,

    samedi, mai 29, 2010

    FÊTE DES MÈRES !

    Mais oui, je dois y participer...
    Bien qu'elle soit déjà morte depuis 2004, et d'une façon cérébrale très douloureuse et très perturbante, contrairement à mon père (décédé de son côté d'une crise cardiaque ultra-rapide et sans la moindre douleur, perdu dans le coma juste une petite semaine, sans la moindre souffrance) :
    Certes, ma mère pouvait s'avérer de temps en temps très chiante et très dominatrice... N'empêche que c'est en grande partie grâce à elle que j'ai "débuté" le piano, puis "continué" le piano, puis suis devenu "professionnel" du piano, alors bon, un minimum de respect, tout de même...
    Plus d'autres personnes que j'ai quasiment connues adolescentes, et qui sont désormais mères de famille, contrairement à moi :
    Notamment avec Ondine, dont la maman est la très belle et très douée musicienne Charlotte :
    Normal, vu qu'elle est quasiment des mêmes signes d'air que moi, donc tout se révèle ultra cool, au final !
    Et voilà, ainsi va la vie, c'est comme ceci et l'on n'y peut rien : certaines personnes meurent (disons, en gros, toutes), et d'autres naissent, c'est comme ça, et l'on ne peut guère y changer grand chose..
    Alors bon, j'ai plein d'amis qui ne croient pas une seule seconde à la vie après la mort... Et moi non plus, je n'en suis pas certain à 100% !
    Mais bon... Disons cinquante-cinquante, non ?

    Libellés : , , ,

    lundi, octobre 26, 2009

    THE DEATH...

    La mort, quoi, en résumé...
    Parce qu'il se trouve qu'aujourd'hui, je viens tout juste d'apprendre que l'une de mes tantes vient de passer de l'autre côté de la barrière à l'âge vénérable de 85 ans, et pour être très honnête : et bien je n'en ai franchement rien à foutre, en résumé, d'autant plus que ceci me terrifie de moins en moins, même dans mon propre cas...
    Toujours est-il qu'en visitant pour la première fois de ma vie Wien il y a deux ans, j'ai découvert vis-à-vis du même thème cette fabuleuse fresque du fort réputé Gustav Klimt (1862-1918), très expressive, je trouve (j'ai vraiment adoré ce tableau !) :
    En gros : celui qui est sur la gauche, il va de toute façon forcément finir par nous frapper un de ces quatre... Alors en attendant, ne pourrions-nous pas nous comporter comme les gens à droite de ce chef-d'œuvre, qui ont juste l'air d'être en harmonie, en affection, en art, en communication et en bonheur, tout simplement ?
    Bref, vu que la plupart des adultes que je connais ont déjà oublié toute cette morale, avant même, peut-être, de la connaître, ceci me dépasse tout simplement, en résumé... Du coup, je crois que je n'en aurait même pas les larmes aux yeux si jamais il arrivait à certains d'entre eux de finir comme le sublime tableau du bœuf écorché de Rembrandt (1606-1669, très critiqué de son temps :
    Enfin bon, peu importe... Raison pour laquelle je me suis de nouveau retrouvé ce soir dans le très fameux B 74 dont j'ai récemment parlé, en prime en compagnie de deux personnes de près de 70 ans, dont le cerveau reste toujours autour de la trentaine, ce qui est vraiment cool, n'est-ce pas ?
    Du coup, comme ce sublime restaurant est axé autour des trois seules teintes fuschia/blanc/noir, j'ai personnellement mis ce soir un point d'honneur à porter ce nouveau T-Shirt que j'adore (de la très fameuse marque que je vous recommande, bon marché, très inventive, très drôle, et d'excellente qualité) :
    Hum, citation de qui ? Oui, je sais, vous allez trouver tout de suite, tellement ce film est géant... Et du coup, vu mon goût particulier que certaines personnes ne supportent pas, obligatoire d'y associer en pure harmonie ces célèbres Reebok Freestyle des mêmes teintes noires et roses :
    Je les adore trop, tellement elles sont confortables et magnifiques, je trouve ! Sans même citer les sublimissimes bottes 24400-T de la fameuse marque Buffalo dont j'ai très récemment parlé ici...
    En attendant, juste une chose à dire pour tous les méfiants qui ne croient pas à l'astrologie (vieille de plus de 3000 ans, tout de même, presque comme le Yi King... Autrement dit, si c'était vraiment de la daube, ceci serait depuis longtemps tombé à la poubelle, je pense, beaucoup plus qu'un autre célèbre ouvrage datant de seulement 2000 ans, avec déjà pas mal de bons passages, dans le genre) : Nescit homo finem suum : sed sicut pisces capiuntur hamo, et sicut aves laqueo comprehenduntur, sic capiuntur homines in tempore malo, cùm eis extemplò supervenerit...
    Pensez-y bien !

    Libellés : , , , , , , , , ,