16) JAPON : LE MARIAGE
L'année où j'effectuais mon premier voyage au Japon était 1986... Mais il faudra que j'attende l'année suivante pour rencontrer, dans la même classe que moi au CNSM de Paris, ma très bonne copine japonaise, Fumie Ito !
Au début, certes, nous ne parlions pas de mariage, et nous nous contentions de vivre ensemble… Hélas pour elle, le gouvernement se fit de plus en plus sensible, et menaçait de la rapatrier si elle n'avait pas au moins un membre de la famille qui habitait en France - et cela était valable même si c'était son seul mari ! Raison pour laquelle je me dépêchais de me marier en personne, tout d'abord sous une forme très rapide, bien obligatoire, mais petit à petit sous une forme bien plus lente et aristocratique, le 23 décembre 1990 au Japon, où je retournais pour la seconde fois :
Au début, certes, nous ne parlions pas de mariage, et nous nous contentions de vivre ensemble… Hélas pour elle, le gouvernement se fit de plus en plus sensible, et menaçait de la rapatrier si elle n'avait pas au moins un membre de la famille qui habitait en France - et cela était valable même si c'était son seul mari ! Raison pour laquelle je me dépêchais de me marier en personne, tout d'abord sous une forme très rapide, bien obligatoire, mais petit à petit sous une forme bien plus lente et aristocratique, le 23 décembre 1990 au Japon, où je retournais pour la seconde fois :
Était-ce une part de belle-famille ? Je n'en sais plus trop rien, à vrai dire :
Mais par contre, c'était bien sûr sa famille… Son père, sa mère, et son unique sœur :
Plus son grand-père, inévitablement :
Chose à naturellement savoir, c'est que le mariage a presque toujours lieu selon le rite shintoïste :
Au cours duquel on boit naturellement du saké, d'abord moi :
Puis elle, bien sûr :
Fascinant, n'est-ce pas ?
Voici donc toute sa famille, prête à dîner, les plus directs se trouvant à droite :
Et nous prenons la toute première photo officielle, avec le père et la mère chacun à l'un des deux côtés :
Avec, bien entendu, le premier discours obligatoire :
Juste avant de débuter le repas, vêtue d'une robe différente :
Et bien sûr, tournée avant tout vers son grand-père :
Même si cela n'exclut pas aussi de se démarquer vers quelqu'un d'autre - bien que je ne sache plus très bien de qui il s'agit :
Et retour, encore une fois, sur les grands-parents :
Et bien sûr les adieux :
En gros, cela fut donc très sérieux… Et bien que sa mère n'approuvait pas fondamentalement ce mariage, il se prolongea tout de même une bonne dizaine d'années ! D'ailleurs, nous nous remariâmes une troisième fois le 20 avril 1991, cette fois-ci en France, avec mes parents et à l'église de Levallois-Perret, ce qui fut aussi très bien (surtout avec la Toccata et Fugue en Ut majeur de Johann Sebastian Bach, et grâce au filet de Col-Vert aux Lactaires une fois au restaurant)...
A la suite de ces dix ans, une impossibilité - de ma part - d'avoir un enfant contribua à notre séparation, hélas… Mais cette mise en couple fut très agréable, et ceci dès l'une des première photo, en 1987 :
Et bien sûr au cours d'une seconde, où nous étions tous les deux à près de 3000 mètres dans le massif des Cerces - où nous sommes allés relativement souvent, mine de rien :
Vient ensuite le point le plus haut, en 1992, où nous sommes montés à Zermatt à la conquête du Breithorn et de ses 4164 mètres - en compagnie d'un guide, bien sûr :
Evidemment, la vraie phase finale eut lieu, bien sûr, quelques années plus tard :
Mais ceci n'enlève rien au charme de cette personne… Qui riait d'une façon quasi constante, et portait en outre le surnom de Fufu, le vrai sens de "Fumie" étant, pour le moins, très particulier en français !
Mais par contre, c'était bien sûr sa famille… Son père, sa mère, et son unique sœur :
Plus son grand-père, inévitablement :
Chose à naturellement savoir, c'est que le mariage a presque toujours lieu selon le rite shintoïste :
Au cours duquel on boit naturellement du saké, d'abord moi :
Puis elle, bien sûr :
Fascinant, n'est-ce pas ?
Voici donc toute sa famille, prête à dîner, les plus directs se trouvant à droite :
Et nous prenons la toute première photo officielle, avec le père et la mère chacun à l'un des deux côtés :
Avec, bien entendu, le premier discours obligatoire :
Juste avant de débuter le repas, vêtue d'une robe différente :
Et bien sûr, tournée avant tout vers son grand-père :
Même si cela n'exclut pas aussi de se démarquer vers quelqu'un d'autre - bien que je ne sache plus très bien de qui il s'agit :
Et retour, encore une fois, sur les grands-parents :
Durant le repas, petite interruption, destinée à continuer le discours - mais cette fois-ci, avec une robe différente, nous l'avons déjà dit :
Puis vint inéluctablement la dernière photo :Et bien sûr les adieux :
En gros, cela fut donc très sérieux… Et bien que sa mère n'approuvait pas fondamentalement ce mariage, il se prolongea tout de même une bonne dizaine d'années ! D'ailleurs, nous nous remariâmes une troisième fois le 20 avril 1991, cette fois-ci en France, avec mes parents et à l'église de Levallois-Perret, ce qui fut aussi très bien (surtout avec la Toccata et Fugue en Ut majeur de Johann Sebastian Bach, et grâce au filet de Col-Vert aux Lactaires une fois au restaurant)...
A la suite de ces dix ans, une impossibilité - de ma part - d'avoir un enfant contribua à notre séparation, hélas… Mais cette mise en couple fut très agréable, et ceci dès l'une des première photo, en 1987 :
Et bien sûr au cours d'une seconde, où nous étions tous les deux à près de 3000 mètres dans le massif des Cerces - où nous sommes allés relativement souvent, mine de rien :
Vient ensuite le point le plus haut, en 1992, où nous sommes montés à Zermatt à la conquête du Breithorn et de ses 4164 mètres - en compagnie d'un guide, bien sûr :
Evidemment, la vraie phase finale eut lieu, bien sûr, quelques années plus tard :
Mais ceci n'enlève rien au charme de cette personne… Qui riait d'une façon quasi constante, et portait en outre le surnom de Fufu, le vrai sens de "Fumie" étant, pour le moins, très particulier en français !