#8 : UEBER HOTELS

De l'hôtellerie...
Qui, comme chacun ne le sait peut-être pas, est toujours parfaite en Autriche. Parfaite au sens suisse, bien sûr (genre, tout est tellement nickel que l'on pourrait facilement manger dans les toilettes), mais avec ce petit quelque chose en plus qui fait toute la différence : la gentillesse et la sincérité de l'accueil. Et je ne vous parle pas seulement ici de mes fastueux hôtels de Vienne (face au château de Schönbrunn !) et de Graz :

Mais tout autant des petits hôtels de village, qui pour un prix assez modique - souvent entre 20 et 30 € - offrent une hospitalité digne d'un palace (ici à Aflenz) :

Mais le must, ce sont bien sûr ces petites auberges perdues dans la montagne, où l'on jouit tout à la fois du calme, du panorama, et du savoir-vivre autrichien (Gasthof Mouassa, 1160m) :

Et où l'on peut conclure une bonne randonnée par l'un des meilleurs moments de la journée, l'écriture du journal ou des cartes postale en épongeant sa soif à l'aide de la meilleure bière du monde, la Weizenbier :

Quoiqu'il en soit, contrairement au Japon où tout semble toujours un peu trop petit ou trop bas, en Autriche (ainsi qu'en Allemagne, d'ailleurs), c'est l'exact inverse ! Et il n'est pas rare qu'une simple chambre dépasse les trente mètres carrés :

Bref, question #8... À Vienne, au début du XXème siècle, Sigmund Freud a accordé une brève entrevue à l'un de ses compatriotes musiciens. Il s'agit de (je suis assez sympa, sur ce coup) :
1) Gustav Mahler ?
2) Anton Bruckner ?
3) Wolfgang Amadeus Mozart ?
4) Britney Spears ?
Bon. Rien à voir avec la choucroute, mais tout à l'heure en sortant de chez moi, j'ai trouvé la lumière tellement belle que je suis retourné illico chercher mon petit numérique pour vous offrir ce cliché tout frais :

N'oubliez surtout pas de jeter un œil à mon dernier reportage sur les grandes orgues de Saint-Louis-en-l'Île, qui m'a donné beaucoup de mal - mais on voit le résultat, soit dit en toute modestie...
C'est sur PARIS ARCHIS, bien sûr !