#8 : MONTAGNE & MUSIQUE...
Et oui, c'est mon job... Mais mine de rien, la marche et l'interprétation au piano sont extrêmement proches !
Pour tout dire, je n'emporte même pas de lecteur de CD avec moi, tellement les morceaux préférés se présentent dans ma mémoire presque naturellement, du fait du rythme obligatoire de marche, régulier, engagé, volontaire, et en même temps liés à la vision mystique de l'infini de la musique - et de la nature :
Pour tout dire, je n'emporte même pas de lecteur de CD avec moi, tellement les morceaux préférés se présentent dans ma mémoire presque naturellement, du fait du rythme obligatoire de marche, régulier, engagé, volontaire, et en même temps liés à la vision mystique de l'infini de la musique - et de la nature :
Mais bon. La plupart du temps, tout ceci se montre nettement plus sévère, et lors de la rude traversée du Piémont dont il sera question dès le #12, la conjonction de la raideur du parcours avec l'abondance de la nebbia (brouillard) m'ont demandé des tempi bien plus lents :
Mais il peut y avoir encore pire, dès lors que l'on dépasse les 3000m - comme ici, au pied de ce Ciarforon que je vénère, dans le Gran Paradiso :
Bon, je m'arrête là... faute de quoi cet article pourrait durer des heures !
Mais la question #8 tournera tout de même autour de cet instrument dont j'ai vaguement joué pas loin de La Vachette (mais très peu de temps, car mine de rien, ce n'est pas un orgue) :
Mais la question #8 tournera tout de même autour de cet instrument dont j'ai vaguement joué pas loin de La Vachette (mais très peu de temps, car mine de rien, ce n'est pas un orgue) :
Adoncques : qu'est-ce que c'est ?
Merci d'avance : jamais de réponse aux questions dans les commentaires...
Toutes les infos du concours sont à lire ici !
Merci d'avance : jamais de réponse aux questions dans les commentaires...
Toutes les infos du concours sont à lire ici !
Libellés : Concours, Hautes Alpes, Montagne, Musique, Piano, Vacances
5 Comments:
Merci pour la vidéo de ce cher Glenn, un pur génie, habité par La Musique.
J'aime Bruckner, un autre génie, mais aussi Sibélius, Grieg et les compositeurs slaves tels Dvořák, Smetana et Rachmaninov.
Les anglo-saxons, ce sera pour une autre occasion !
Hahaha, moi aussi, j'aime tous ceux-ci, venus de l'Est...
Je ne raffole pas de Debussy, je déteste Ravel, et quant à Fauré, Gounod, Massenet, autant foutre les partitions d'emblée à la poubelle, quoi, sinon rarissimes exceptions...
Quoique, juste histoire d'être reconnaissant envers mon propre pays, il me reste tout de même deux noms (grandioses) à mentionner : Louis Marchand, l'un des plus grands organistes du monde, et bien sûr Hector Berlioz, ne serait-ce que pour la fabuleuse Symphonie Fantastique Op.14, qu'il a écrite à seulement 27 ans, lol !!!
Quant à Glenn Gould, c'est vrai que c'est un pur génie, pour tout dire...
Et du même coup, probablement un gros taré dans mon style (sauf que lui, c'était le froid qu'il ne supportait pas, toujours vêtu de deux ou trois pulls et d'anoraks au sein de New York à 40°, alors que moi, c'est plutôt le contraire : plus de 25°, et pouf, c'est l'horreur absolue) !
Certes, pour l'instant, je ne joue pas encore le très fameux Adagio de la sublime Sonate Op.110 à ce tempo aussi lent, mais après tout, je ne viens que de fêter mes 50 ans...
Alors bon, peut-être plus que 10 ou 20 ans à attendre, et ceci va peut-être finir par s'imposer à mon cerveau ?
Le génie de Gould serait dû, en partie, à ce qu'il était affecté du symdrôme d'Asperger :
http://www.autismeactus.org/glenngould.php
Si la question de l'autisme vous intéresse, je ne saurais que trop vous recommander l'excellent roman écrit par la mère d'un autistique "La vitesse de l'obscurité" :
http://www.bouquineuse.com/post/2009/04/01/La-vitesse-de-l-obscurite-par-Elizabeth-MOON
Voilà, j'ai regardé ces deux liens,
Glenn Gould et
La Vitesse de l’Obscurité, mais non, je ne me sens pas trop autiste pour l'instant, lol !
Enregistrer un commentaire
<< Home