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  • dimanche, février 14, 2016

    NEW SITE !

    Je sais, cela ne m'arrive pas très souvent…
    Mais je vous présente, avec un grand plaisir, le site de Saturne Mezzasalma, qui est tout à la fois peintre, graphiste, chanteuse, et enseignante… Et dont le site se trouve très précisément ICI, avec cette fort belle photo en couverture :
    Si vous avez envie de l'écouter chanter, rendez vous soit à cet endroit, qui est relativement court, mais doté d'une grande vidéo : 
    Ou encore à celui-ci, qui est nettement plus long...
    C'est elle, bien sûr, qui est à la tête de la photographie du groupe, Neko Light Orchestra… Mais cela ne l'empêche pas d'avoir sa propre classe, comme on le voit ici :
    Dois-je vous en dire plus ? Et bien, je l'aimais beaucoup autrefois en tant que peintre, et j'ai d'ailleurs toujours son tableau qui s'affiche dans ma pièce principale :
    Même si j'en préfère cette partie :
    Une autre toile, qu'elle a dû faire vers 2006, fut offerte à mon neveu, également musicien à ses heures :
    Mais cela ne l'empêchait pas de se peindre elle-même avec une grande élégance :
    Ce qu'elle fit avec conscience à cette époque :
    Mais qu'elle fait aujourd'hui dans un tout autre genre, comme nous l'avons déjà vu lors du premier extrait :
    Voilà, c'est terminé, vous n'avez plus qu'à vous rendre sur SON SITE… Elle se prénomme Saturne, se nomme Mezzasalma, est bélier ascendant cancer, habite à Toulouse (oui, la ville mythique de Claude Nougaro), et pour finir, vous donne volontiers des leçons de chant, si vous avez la chance de ne pas habiter trop loin !

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    vendredi, janvier 14, 2011

    LA NULLITÉ DE PARIS !

    Voire même son fascisme, en l'occurrence...
    Pour tout dire, je rentre aujourd'hui de mon conservatoire habituel en ayant été complètement scotché par les deux affiches suivantes, avec du même coup l'immense chance de ne pas avoir été instantanément frappé d'une cataracte, d'une conjonctivite, sans même parler d'une éventuelle crise cardiaque !
    Incroyable, tout ceci, non ?
    Alors de quoi s'agit-il ? Et bien la Direction des Affaires Culturelles (DAC, autrement dit) passe son temps à inventer de nouvelles règles, créer de nouvelles lois, imposer de nouvelles contraintes, bien évidemment sans jamais demander le moindre avis aux gens réellement compétents, les artistes & les professeurs, en l'occurrence...
    Résultat consternant : depuis peu, les affiches concernant la musique devront désormais toujours être "vert pomme", et celles concernant la danse toujours "rose fuschia" ! Une nouvelle règle qui va du coup massacrer pratiquement toutes les photos, règle probablement imaginée par une personne qui se croit probablement artiste, et a dû se dire quelque chose du genre : "Tiens, je vais associer la musique à la couleur de l'espoir, et dans la foulée, pourquoi pas la danse à la couleur des nanas et des homos, tel génie pictural que je suis ?"...
    Hallucinant, quelque part, ne trouvez-vous pas ? D'autant plus que jusqu'à fin décembre 2010, la jeune fille du Conservatoire qui créait nos affiches de concerts, sans avoir jusqu'alors de comptes à rendre à la DAC, faisait toujours preuve d'un très bon goût dans ses choix d'images et ses harmonies de couleurs :
    Sans parler (pour une fois) de ma toute récente affiche en vue d'un prochain concert avec mon ami & collègue Mathieu Lamboley, pour laquelle je m'étais donné beaucoup de mal sur deux ou trois logiciels d'images :
    Résultat final : les deux photos que nous avions mis pas mal de temps à choisir, ainsi que la jolie couleur sable marbre du fond et mes caractères inspirés de X-Files, tout ceci va désormais se trouver massacré sous la fameuse couleur vert pomme, avec le résultat lamentable que vous pouvez imaginer !
    Moralité : ne gaspillez pas pour rien un ticket de métro, étant donné que le concert en question va se trouver hélas annulé (de notre part, évidemment)...

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    dimanche, octobre 10, 2010

    #20 : PADOVA

    Ou Padoue, comme l'on dit chez nous !
    Attention, cet article #20 est l'ultime de tous (avec, en guise de cadeau, 32 photos au lieu de ma vingtaine habituelle), comme quoi le concours se trouve désormais ouvert, et que vous avez le droit d'y participer jusqu'au 14 décembre 2010...
    Padova, la fameuse ville de Saint Antoine du même nom, tout aussi sublime que celle de Trieste, sauf que l'arrivée à la gare se révèle bien plus catastrophique, notamment avec cet horrible immeuble bleu, chose rarissime en Italie :
    Mais peu importe... Il suffit de marcher un bon petit quart d'heure pour tout de suite débarquer dans la vraie ville, en partie sur la fameuse Via Dante (vue de mon hôtel, évidemment intitulé Sant'Antonio) :
    Et d'un autre côté sur le très célèbre Ponte Molino, datant quasiment de l'époque romaine :
    Petit calvaire dans cette ville absolument magnifique : il y avait, grosso modo, un musée ou une église à visiter tous les cinquante mètres, de sorte que je crois que même avec les deux jours très engagés que j'y ai passés, il ne serait pas forcément négatif que je revienne y faire un tour dans les années suivantes, tellement c'est riche !
    Vu que j'y suis arrivé un dimanche soir, hélas, et qu'il se trouve que par miracle en Italie, presque tout reste ouvert le samedi et le dimanche jusqu'à 21h, de même qu'au Japon, et bien beaucoup de choses sont du coup fermées le lundi, de sorte que je n'ai pu le premier jour visiter que quelques églises (vu que tous les musées ne se réveillent que le mardi), à commencer par la fameuse Chiesa degli Eremitani (XIII-XVème siècle) :
    Déjà à elle seule totalement immense :
    Et dotée de magnifiques tombeaux (avec, comme d'habitude, 712 fresques de tous les côtés) :
    Mais j'ai pu aussi sans problème parvenir jusqu'à la très fameuse place hébergeant Oratori di S. Giorgio & le Museo Antoniane :
    Avec en prime, juste en face de ces bâtiments, l'église la plus sublime de Padova, la très célèbre Basilica di Sant'Antonio :
    Géante, n'est-ce pas ? D'autant plus que je rentre dans ce genre d'endroit en me disant : "Bon, ça a l'air bien cool, je vais donc y rester un bon quart d'heure"... Et une heure plus tard, voilà, j'y suis toujours, tellement le nombre de choses à y voir est hallucinant ! Sans même parler de toutes les mystiques reliques, en l'occurrence non pas celles du Christ, mais bel et bien celles de Saint Antoine :
    Alors bon, soyons honnêtes... Malgré les apparences, il n'y a pas que lui à Padova ! Il y a aussi mademoiselle San Giustina, dont l'architecture est extrêmement proche, bien que nettement plus sobre :
    Voici donc, en gros, tout ce que j'ai pu visiter le premier jour, rentrant tard le soir à mon hôtel Sant'Antonio suite à un excellent dîner dans le célèbre Gigi Bar, le long de la fameuse Via Dante, d'une architecture typique de la région, basée sur les arcades de presque tous les chemins :
    Et hop ! Dès le lendemain matin, ceci repart d'emblée, avec tout d'abord, juste à côté de l'hôtel, la très belle Basilica del Carmine, mise en valeur par la statue du fameux Pétrarque (1304-1374) :
    Certes légèrement plus petite que la Basilica di Sant'Antonio vue la veille, mais si possible encore plus riche en fresques de tous les côtés, sans parler du sublime plafond :
    Plus cette toute petite œuvre située à la base d'un autel, représentant Saint Sébastien & le Ponte Molino dans un style que j'adore particulièrement, la marqueterie de marbre (probablement plus complexe que celle du bois, je suppose) :
    Bref ! Une fois sorti (là encore, une bonne heure plus tard), je rentre tout de suite dans la minuscule Scoletta del Carmine située juste à côté :
    Et là, de nouveau, je tombe sur une vingtaine de fresques hallucinantes, dues aux très renommés Girolamo dal Santo (1480-1561) & Giulio Campagnola (1482-1515) :
    Sans même parler, très probablement, de Andrea Mantegna (1431-1506) :
    Adoncques, de nouveau une très belle heure passée dans ce merveilleux bâtiment de petite taille :
    Fort heureusement, il y avait de façon prévisible très peu de tags à Padova, sinon celui-ci, qui a très exactement fait revenir dans mon crâne la sensation que j'avais dans cette ville dès le début : "Je t'aime, ma petite" !
    Petite casse-croûte (je ne mange presque jamais, le midi, d'habitude), et me voici enfin dans le plus célèbre bâtiment de cette ville, la Cappella degli Scrovegni, qui se trouvait fermée hier :
    Une chapelle célèbre dans le monde entier, décorée du sol au plafond par le très fameux peintre Giotto di Bondone (1267-1337) :
    Malheureusement, dans un but de préservation de ces fresques très anciennes, menacées par des changements de température, cette chapelle ne peut désormais se visiter que d'une unique façon : tout d'abord en entrant dans une pièce d'environ 20°C durant un quart d'heure (où l'on assiste à la projection d'une vidéo historique concernant l'église et le peintre), pour ensuite pénétrer dans l'endroit mythique durant un autre quart d'heure, ce qui hélas est bien trop peu dans un tel endroit, en prime tellement surveillé que l'on a pas le moindre droit d'y prendre des photos, même sans flash (la précédente n'est donc pas de moi, mais vient pour une fois d'Internet)... Enfin bon, puisque ceci est censé préserver les fresques d'une trop rapide dégradation, on ne peut non plus rien avoir contre, n'est-ce pas ?
    Je me suis du coup rattrapé dans le vaste Musei Civici Eremitani situé juste à côté (et inclus dans le même billet), un musée très riche en tableaux, dont voici mes deux préférés, la Gloria di S. Agnese de Giovanni Lanfranco (1582-1647), un peintre que je ne connaissais pas du tout :
    Le second tableau venant par contre de mon très favori Giambattista Tiepolo (1696-1770), représentant San Patrizio Vescovo d'Irlanda :
    La majorité des tableaux de ce peintre se trouve hélas à Venise - voici pourquoi il faut à Paris absolument visiter le magnifique musée Jacquemart-André, où se trouve les deux seules grandes fresques de ce maître absolu dans notre capitale...
    Quelques heures plus tard, rendez-vous à la vaste Piazza dei Signori, où se trouve l'impressionnant Palazzo del Capitano, orné de cette sublime horloge astrologique - qui aurait pu du reste m'inspirer une ultime question #20, pour être honnête :
    Certaines choses évidentes pour les amateurs du genre, tel que moi : la mention, au centre, des oppositions, des trigones et des carrés... Et une chose beaucoup plus complexe, qui ne se trouvait que dans les zodiaques initiaux (environ cinq siècles avant J.C) : la réunion sur la gauche en 90 degrés des trois signes aujourd'hui individuels mais toujours liés, Vierge ("M" avec la queue rentrée), Scorpion ("M" avec la queue sortie), et entre les deux, Balance pour en faire l'équilibre !
    Et juste à côté, Piazza del Duomo, la troisième très grande église de la ville, Cattedrale Battistero, dans le même style architectural que les deux autres :
    Avec de façon étonnante quatre fois le même orgue en quadriphonie autour du grand chœur, ce qui m'a totalement scotché (même si l'on ne peut voir que l'un des quatre sur la photo) :
    Bon, voilà... Il devait être aux alentours de cinq ou six heures de l'après-midi, alors après toutes ces églises et tous ces musées, j'ai finalement décidé de me détendre un peu avec une fort jolie promenade en suivant le canal avant d'aller au restaurant (Gigi Bar, le même qu'hier, vu qu'excellent !)... Tout d'abord en apercevant de loin ce très étonnant Osservatorio Astronomico, bordé à droite de la belle Casa Macola :
    Puis quelque temps après, le superbe Palazzo Fioravanti Onesti, digne de Venise, n'est-ce pas ?
    Avec juste devant, en cadeau pour moi, la superbe publicité pour une marque Italienne que j'adore, Fornarina :
    Et voilà... Après près de sept semaines, mes vacances sont enfin terminées, bonne raison pour revenir pour de bon en France - et retrouver la bête qui me manquait vers la fin énormément : mon piano !
    Question #20 (l'ultime) : Quelle pourrait bien être cette fameuse ville française, où j'ai un tout petit peu séjourné juste avant de rentrer à Paris ?
    Merci d'avance : jamais de réponses aux questions dans les commentaires (qui sinon seront effacées, logique)...
    P.S : La totalité des vingt articles peut donc désormais se lire par contre , tant que Blogger n'aura pas rectifié son très fameux bug vous limitant à quatre ou cinq, snif...

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