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  • lundi, juillet 01, 2024

    07) LA HAUTE MONTAGNE : GRAND GALIBIER

    S'il vous plait, et bien que ce soit peut-être difficile, je vous serais très reconnaissant si vous aviez le courage de laisser un commentaire... Un grand merci d'avance !

    Bien que je ne puisse plus marcher, hélas, il m'est revenu récemment à la tête cette ascension du Grand Galibier (3228m) en 1988, qui fut certes unique - je veux dire, de ma part -, mais malgré tout mémorable. Ce massif est le plus haut de la région des Cerces, immédiatement suivi par le Mont Thabor (3178m) et la Pointe des Cerces (3098m), que j'ai par contre gravi bien plus souvent.

    Je partais comme d'habitude du refuge des Drayères, et je rencontrais assez rapidement le Lac des Cerces (2410m) - dont la seconde photo est bien meilleure :

    Puis je passais au pied des Arêtes de la Bruyère (2611m) :
    Enfin, j'arrivais à cet endroit où l'on peut voir tout à la fois le Pic de l'Aigle (2776m), à l'extrême droite... Et aussi l'Aiguille Noire (2870m), en plein centre de la deuxième photo :
    Pas mal, non ? On se trouve cette fois-ci bien plus proche du Grand Galibier, en voyant tout d'abord le nettement plus difficile Roc Termier (3078m) - à voir ici :
    Puis finalement le Grand Galibier lui-même (3228m) - et vous pouvez également l'apprécier beaucoup plus à cet endroit :
    De là, l'on pouvait également cerner tout le Massif des Cerces :
    Au loin, le Mont Thabor (3178m) et le Pic du même nom (3207m) :
    Et dans l'autre sens, la Meije (3983m), la seconde plus haute montagne de l'Oisans, juste après la Barre des Ecrins (4102m) :
    Enfin, me voici au sommet du Grand Galibier - oui, je sais, en train de fumer une cigarette, mais bon, ça doit être la première ou seconde de la journée, donc peu importe :
    Le Grand Galibier se divise en deux, tout d'abord son sommet ouest (3228m), puis son sommet est (3219m)... Mais il faut vraiment être au point le plus haut pour s'en rendre compte :
    C'est aussi l'un des endroits d'où l'on distingue le mieux la Pointe des Cerces (3098m), surtout lorsque celle-ci montre ses couleurs étonnantes de la face ouest :
    Quoiqu'il en soit, il fallait tout de même finir par redescendre... Ce que je fis de nouveau en contemplant les Arêtes de la Bruyère (2611m), et le Grand Lac (2282m), plus visible que sur la première photo :
    Ainsi que les Aiguilles d'Arves (3514m) et le Tête de Chat (3364m), lointaines, mais illuminées par une belle couleur d'herbe :

    J'étais ainsi rentré au refuge des Drayères, en juillet 1988... C'était certes il y a 36 ans, mais je m'en souviens encore comme si c'était hier - peut-être en partie grâce à ces photos !

    Les six autre massifs de haute montagne : 1) POINTE DES CERCES (FRANCE) 2) BREITHORN (SUISSE) 3) DÔME DES ECRINS (FRANCE) 4) ZUGSPITZE (ALLEMAGNE) 5) TRIGLAV (SLOVENIE) 6) FUJISAN (JAPON)

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    2 Comments:

    Anonymous Anonyme said...

    bon article, eh oui ,, les photos sont faite pour ça . le souvenir
    un peu de nostalgie
    de Sofia bise

    vendredi, 05 juillet, 2024  
    Blogger Vincent said...

    Il y a même beaucoup de nostalgie... Mais bon, c'est normal, je pense, surtout parlant d'un sommet comme celui-ci ! Bises de Paris

    vendredi, 05 juillet, 2024  

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