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  • mardi, janvier 21, 2025

    1987 (JUILLET) : REFUGE DES DRAYÈRES / AIGUILLE GRIVE (FRANCE)

    Voilà, c'est le mois de juillet... Et je ne me rendais pas au Japon, comme l'année dernière, mais une nouvelle fois au refuge des Drayères - situé comme chacun le sait dans la vallée de la Clarée, juste au dessous de l'impressionnante Main de Crépin (2942m) :

    Avec une vue superbe sur le lointain Mont Thabor (3178m), et dans l'autre sens sur l'Aiguille Noire (2869m) - bien plus basse, mais demandant de réelles compétences d'alpinisme :
    Inutile de vous préciser que nous commençâmes le mois de juillet de façon bien plus calme, consistant simplement en un petit tour du côté du Lac de la Clarée (2433m) - juste dominé par l'étrange Pain de Sucre (2654m) :
    Pourquoi dis-je nous ? Et bien parce que j'avais rencontré peu de temps auparavant cette superbe pianiste japonaise, qui non seulement appréciait la musique classique tout autant que moi, mais semblait également bien intéressée par la montagne :
    Dès le lendemain venu, nous partîmes pour l'Aiguille Grive (2733m), une autre pointe pas bien difficile - mais qui est peu pratiquée du côté de Névache, la grande majorité de ses visiteurs venant de la Vanoise, plus au nord :
    C'était encore plus joli une fois vu du haut, où nous découvrions du même coup un grand nombre de massifs - dont je suis hélas aujourd'hui incapable de vous citer les noms :
    Si vous voulez tout savoir, cette jeune fille est devenue ma femme pendant une bonne dizaine d'années, jusqu'à 2001, à peu près... Elle était du signe du bélier, pratiquement toujours prête à rire, et cela m'a toujours beaucoup  plu :
    Son vrai nom était Fumie Itô... Mais étant donné le sens tordu de son prénom dans la langue française, nous l'appelions tous "Fufu" - ce qui semble-t-il lui allait très bien :
    Un autre jour, nous fîmes un petit tour du côté du Camp des Rochilles (2410m) - un ouvrage bâti en 1902, puis revu par Maginot autour de 1939, afin de faire face à l'invasion italienne... Il ne sert plus que de refuge aujourd'hui, réduit au minimum en ce sens :
    Cela n'empêcha pas Fufu de se recueillir tranquillement sous les fameuse Tours de Notre-Dame (2648m), puis devant le face ouest de l'Aiguille Noire, bien plus impressionnante :
    Vient ensuite le moment de rentrer au refuge des Drayères... Mais personne n'allait s'en plaindre, vu l'étonnante beauté du massif :
    Lors du dernier jour, nous entreprîmes une balade avec le gardien Gilles, vers le superbe Col de Névache (2794m), juste entre la pointe du même nom et la Roche du Chardonnet (2950m) :
    Et nous avions de là une vue magnifique sur toute la vallée de la Clarée, avec Alba, bien sûr :
    Allons nous revenir dès que possible ? Bien des années plus tard, je suis très au courant de nos intentions, inutile de le préciser... Rendez-vous donc en 1988, ce que vous pourrez aisément trouver dans le lien habituel ci-dessous !

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    lundi, janvier 20, 2025

    1987 (JANVIER) : REFUGE DES DRAYÈRES (FRANCE)

    Après une année fantastique passée au Japon, me voici de nouveau retourné à l'occasion du nouvel An dans le désormais célèbre refuge des Drayères (2180m), situé en France vallée de la Clarée, et bâti juste sous la Main de Crépin (2942m) - ce jour-ci éclairée par un rare brocken :

    Il y avait aussi Weiven, la femme chinoise de l'un de mes meilleurs amis, qui bien qu'elle ne pratiquait pas du tout le ski de randonnée, semblait bien s'amuser avec Alba :

    Pendant ce temps, nous partîmes au Col des Rochilles (2496m), pas beaucoup de montée, mais avec une vue assez étonnante sur la Savoie, juste au nord :
    Une fois redescendus au refuge des Drayères, nous n'avions plus qu'à nous prendre rapidement en photo... Marc, moi-même et Stéphane Lagorce - avec bien sûr Alba au beau milieu de tout le monde :
    Retour inévitable à la Main de Crépin, hélas abandonnée cette fois-ci par son brocken :
    Un petit détour, au début juste formel, tout d'abord entre la crête du Queyrellin (2935m) et la Pointe des Banchets (2953m) :
    Puis sans doute gravi en ski de randonnée, la Crête des Muandes (2900m) - mais je pense que nous nous sommes arrêtés en fait au Col du même nom, une centaine de mètres plus bas :
    Encore une fois, belle vue sur la vallée de la Clarée et la Main de Crépin, depuis le refuge des Drayères :
    Puis voici enfin le jour tant attendu, le 31 décembre 1986 - c'est à dire le 1er janvier 1987 -, avec myself portant un pull japonais signifiant "musique", et Gilles le gardien dévolu à la cuisine :
    Et d'autres amis de longue date, Marc, Pierre-Marie et Fabienne, déjà prêts à déguster - et à boire, bien sûr, une fois n'est pas coutume :
    Je ne sais pas si c'est dû au vin, mais j'estime beaucoup les photos prises le lendemain de ce jour sacré - même si le climat y est pour quelque chose, c'est certain :
    Que dire de plus ? Rejoignons une dernière fois la Pointe des Cerces (3097m) au coucher du soleil, puis l'Aiguille Noire (2885m) comme la dernière pointe visible du massif :
    Voilà, c'est la fin de cet article, avec beaucoup moins de photos que le dernier, basé au Japon, mais rassurez-vous... Cela va revenir très bientôt, avec en prime les premiers clichés de ma future femme dans la même région, au mois de juillet !

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    samedi, janvier 11, 2025

    1985 (SEPTEMBRE) : COL DES BERAUDES / POINTE DES CERCES (FRANCE)

    Après avoir fait un petit tour en Autriche - que je ne connaissais pas du tout -, me revoici dans le refuge des Drayères auquel je m'habituais peu à peu, non seulement à cause de cette fabuleuse chienne Alba :

    Mais surtout grâce à son gardien Gilles, tout aussi passionné que moi par ces animaux :
    Bien sûr, ce refuge brillait toujours au pied de ses deux vedettes, la Main de Crépin (2942m) et la Pointe des CerCes (3097m) :
    Mais nous allions la jouer beaucoup plus simple cette fois-ci, avec l'ascension facile du Lac (2504m) et du Col des Béraudes (2770m) :
    Avec ce panorama sublime, donnant de gauche à droite sur la Barre des Ecrins (4102m), la Grande Ruine (3668m) et la Meije (3983m) :
    Et en prime, juste à côté, le Pic de la Moulinière (3073m) :
    Nous en avions donc assez vu, et fîmes au retour un arrêt près du Lac des Béraudes, encadré par la Pointe des Béraudes (2895m) :
    Tout cela pour nous retrouver une fois de plus au pied de la Main de Crépin, au cœur de toute la vallée de la Clarée :
    Le nuit tomba, et le lendemain matin, quelle surprise... De découvrir la première neige tombée sur ce secteur :
    Cela s'était dissipé, une fois l'après-midi venu, mais les superbes couleurs visibles au pied du Pain de Sucre et du Rio Blanc résonnaient déjà comme au mois d'octobre - pas bien loin :
    Meilleure preuve avec cette vue sur la Pointe des Blanchets (2953m), et encore une fois sur le Pain de Sucre et le Riou Blanc :
    Le lendemain, qu'allions nous faire ? Et bien comme la dernière fois, gravir le sommet de la Pointe des Cerces (3097m) - sauf que nous allons nous montrer bien plus raisonnables, et surtout ne pas tenter une descente via sa face Est, juste au dessus de la Main de Crépin :
    Bonne décision, au final... Car même de retour sur la face Ouest habituelle, cela s'est avéré un peu compliqué à redescendre, à cause de la neige tombée entretemps :
    Enfin bon, nous étions bien revenus de cette ascension - que je faisais pour la deuxième fois de ma vie... Et le mois d'octobre étant proche, il fallait que je retourne travailler dans la capitale, et que je laisse provisoirement tomber l'Aiguille Noire (2869m) et la Main de Crépin :
    Pas grave, on sera de retour très bientôt, au mois de décembre, pour tout dire... Ce sera pour moi non pas de l'apprentissage du ski, que je pratique depuis mes 16 ans, mais ma première tentative de ski de randonnée - qui comme chacun le sait possède ses particularités, notamment à la montée. A très bientôt !

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