1992 (AOÛT) : HAUTES-ALPES / LAC ROUGE / MONT THABOR / POINTE DES CERCES (FRANCE)

J'étais cette fois-ci tout seul, sans ma femme, et qu'est-ce qui m'a de nouveau tenté, dans le massif des Drayères ? Bien sûr, c'est le Lac Rouge (2585m), tellement beau et discret :

Surmonté tout à la fois par la Tête de la Cassille (3069m) et par le Pas du Lac Rouge - lequel offre une vue splendide sur le lointain Mont Thabor (3178m) :

Plutôt que de me sembler impossible d'accès, cela m'a au contraire encouragé à en tenter l'ascension - longue, mais guère difficile :

D'autant qu'il y avait ce jour-ci un garçon très jeune mais fort doué qui le fit avec moi, et se montrait fort content d'avoir fait cette course célèbre dans toute la région :

En prime, il régnait un temps magnifique, et le panorama s'avérait sublime du nord au sud :

Tout juste de retour, il me semblait logique d'admirer la Roche du Chardonnet (2950m) :

Quelques jours plus tard, nous montions du reste tous les deux à la Pointe des Cerces (3097m) :

Et nous profitions de la vue supérieure qu'elle offrait de la Main de Crépin (2942m)... De même que Alba, qui avait daigné nous accompagner dans cette belle balade :

Hélas, on arrivait fin août, mon partenaire était parti, et il ne restait plus qu'une seule chose à faire : participer à la fête des bergers, un peu plus bas à Laval - avec Patrice et Yves !

Il y avait aussi une certaine Simone, et l'on passait son temps à manger du méchoui - l'air enfin détendu en cette fin de saison :

Car le mois de septembre se pointait, et avec lui le retour de la neige :

Tant pis, n'est-ce pas ? De toute façon, il importe assez peu, puisque je vais revenir au même endroit un nombre incalculable de fois... A commencer par l'année prochaine, 1993, où nous n'allons pas tenter grand chose, mais comme toujours plein sourire !

Je sais que cette date vous semble déjà bien lointaine, et le pays un peu étranger... Néanmoins, les montagnes ne changent pas beaucoup, et cela vous incitera peut-être à laisser un commentaire - ce dont je serais bien sûr ravi, même en 2025 :

REVOIR TOUTES LES RANDONNEES, DE 1984 À 2010

1988 (JUILLET) : HAUTES-ALPES / PAIN DE SUCRE / LAC DES BERAUDES / LAC ROUGE (FRANCE)

Nous étions l'année d'après 1987, et je me rendais - comme d'habitude, désormais - au refuge des Drayères, dans la vallée de la Clarée. Alors certes, le gardien Gilles avait l'air légèrement déprimé... Mais peu importe, finalement, puisque ma future épouse Fufu était là, ayant bien l'air de se marrer à préparer des oignons :

Dès le lendemain, nous passions aux côtés du torrent de Brune, juste avant d'arriver au couloir final du fameux Pain de Sucre :

Nous profitions bien sûr de la vue sur la très proche Main de Crépin (2942m), et sur la plus lointaine Aiguille Noire (2869m) :

Mais cela ne nous masquait pas le but final : parvenir à gravir jusqu'en haut le célèbre Pain de Sucre (2654m)... Ce que Fufu réussit sans le moindre problème !

Nous avions ainsi une plus belle vue sur le refuge des Drayères, une autre sur le massif de Belledonne, situé bien plus à l'ouest, et une dernière sur la Main de Crépin, sensible au coucher de soleil :

Un autre jour, nous partîmes plus simplement vers le Lac des Béraudes (2504m), toujours aussi magnifique... Avec évidemment sa vue bien lointaine sur le Mont Thabor (3178m) :

En guise de fin, nous tentâmes le Lac Rouge (2585m), juste au-dessous de l'impressionnante Crête des Béraudes... C'était un peu plus délicat, mais encore une fois, sans le moindre problème :

Il nous restait juste à contempler un joli coucher de soleil, sur la Main de Crépin :

Ainsi qu'admirer, cette fois-ci de loin, tout le massif du Lac Rouge et des Béraudes :

En ai-je fini, pour 1988 ? Pas encore, soyez rassuré...  Et la prochaine balade, également en juillet, va être plus intéressante, puisque juste située au Passage du Pic du Thabor, à 2952m !

Je sais que cette date vous semble déjà bien lointaine, et le pays un peu étranger... Néanmoins, les montagnes ne changent pas beaucoup, et cela vous incitera peut-être à laisser un commentaire - ce dont je serais bien sûr ravi, même en 2025 :

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