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  • mercredi, avril 16, 2025

    2006 (SEPTEMBRE) : HAUTES-ALPES / REFUGE DES DRAYÈRES (FRANCE)

    Etant donné que j'étais ces derniers jours à Milan, j'ai pris encore une fois le train juste histoire d'aller jusqu'à Bardonecchia, la frontière entre l'Italie et la France... De là, je montais tout simplement au Rifugio I Re Magi, encore italien, puis au fameux Lago Verde :

    Je passais tout d'abord aux granges de la Vallée Etroite, d'où je pouvais voir tout à la fois le Grand Séru et le Grand Adret :
    Et vu qu'il régnait un temps superbe, je suis monté jusqu'au Lac Lavoir, avec au fond I Re Magi et le Mont Thabor :
    De là, je passais brièvement au Lac Chardonnet - tout en contemplant le Roc de Valmeinier :
    Avant d'atteindre vraiment le Col des Muandes (2828m), l'entrée définitive en France :
    Et bien sûr au refuge des Drayères, marqué par cette croissance d'épilobes :
    Où je retrouvais le gardien Gilles, fort occupé avec ses deux chevaux, Margot et Jazzy... Raison pour laquelle nous redescendîmes un temps au village de Rosier :
    Une fois remonté au refuge, je contemplais comme d'habitude la Pointe du Riou Blanc, la Pointe des Béraudes, puis celle des Banchets et la Pointe des Cerces, le point culminant :
    Ensuite, je m'engageais une dernière fois dans la montée à l'Aiguille Noire - qui avait subi un éboulement juste l'an dernier, en 2005 :
    Je partis aussi pour le Lac Biron, d'où l'on pouvait sans problème apercevoir la Pointe du Riou Blanc et le Pain de Sucre :
    De même qu'au Lac des Béraudes, marqué par le Pic de la Moulinière :
    Mais surtout au très désert Lac Rouge, qui méritait bien son nom :
    D'où l'on pouvait voir la célèbre Chandelle du Lac Rouge :
    Pour finir, je me dévoilais enfin, en train d'en fumer une, juste à côté d'une jeune fille très sympathique, Mélanie... Mais l'on voit bien qu'il est grand temps de rentrer, n'est-ce pas ?
    Je vous l'avais déjà dit, on était nettement au mois de septembre, et je devais terminer ce vaste séjour en montagne de 2006, afin de retourner comme d'habitude à Paris... Ne vous inquiétez pas, j'allais dès l'an prochain y revenir - sauf que cette fois-ci, je retournerais uniquement en Autriche !
    Je sais que cette date vous semble déjà bien lointaine, et le pays un peu étranger... Néanmoins, les montagnes ne changent pas beaucoup, et cela vous incitera peut-être à laisser un commentaire - ce dont je serais bien sûr ravi, même en 2025 :

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    mardi, avril 15, 2025

    2006 (AOÛT) / LOMBARDIA / MILANO / DUOMO / VILLA REALE (ITALIE)

    C'était la première fois que je posais les pieds dans cette fameuse ville, Milan, capitale de la Lombardie, et j'y suis arrivé le soir en train, où je me logeais faute de mieux à l'hôtel Rio... Ce que j'en ai vu alors se limitait au célèbre Corso Vittorio Emanuele II, malheureusement uniquement visible de nuit !

    Par bonheur, Piazza del Duomo se réveilla le lendemain en pleine forme... Accompagnée par la célèbre sculpture représentant Vittorio Emanuele II - le premier roi d'Italie (1820-1878) -, édifiée par Ercole Rosa quelques années après sa mort :
    Sur la même place, l'on pouvait également profiter de l'une des cathédrales les plus belles d'Italie, il Duomo, en l'occurrence la troisième la plus vaste du monde, édifiée très patiemment de 1386 à 1932... J'étais alors particulièrement nul, car je n'en prenais aucune photo convenable. Préférant virer la seule que j'avais au profit du sublime plancher en marbre - qui fait même allusion au zodiaque :
    Je rendais quand même respect aux trois orgues - dont le plus grand d'entre eux fut construit en 1937 par Tamburini, et est considéré comme le plus vaste orgue italien - voire ave ses 196 registres comme l'un des plus immenses d'Europe :
    Il me restais encore à voir une jeune fille, en train de prier :
    Avant de descendre à l'endroit le plus improbable du Duomo, sa crypte... Ces fouilles ont débuté en 1961 grâce à la construction du métro milanais, et datent de bien avant l'élévation de la cathédrale - bien que je ne sois guère assez connaisseur pour vous en dire plus :
    Passons maintenant à autre chose, encore une fois dans le Corso Vittorio Emanuel lI : le sigle SPQR, datant d'environ 80 avant notre ère, qui signifie Senatus Populusque Romanus - autrement dit, "le Sénat et le peuple de Rome"... Ce que Milan représente également sous la forme de deux enfants tétant le même loup :
    Une fois sorti du Corso Vittorio Emanuele II, je passais un court temps près de la statue de Leonardo da Vinci (1452-1519), Piazza della Scala... Ainsi que devant le Palazzo Cusani, un somptueux édifice du XVIIème siècle, marqué par les formes exubérantes de sa façade extérieure :
    Il me restait encore à passer au quartier de Brera, le plus chic de Milan, où je me rendis tout d'abord à la Pinacothèque - juste histoire de voir la statue de Antonio Canova, Napoléon Ier en Mars pacificateur... Et peut-être cette ancienne fresque, mais je n'en suis plus si sûr :
    Ensuite, il me restait peu de temps pour me rendre aux monuments célèbres, Castello Sforzesco en premier, construit au XVème siècle :
    Ainsi qu'à la Basilica di Sant'Ambrogio, beaucoup plus ancienne - et qui est considérée juste après le Duomo comme la seconde église de Milan :
    Mais laissons Sant'Ambrogio le prouver :
    Heureusement, j'avais encore l'occasion de visiter le musée Poldi Pezzoli, qui expose en permanence de très belles œuvres d'art :
    Et de passer très vite à Villa Reale - dite aussi Villa Bonaparte, construite au alentours de 1790 par l'architecte Leopoldo Pollack -, où j'eus la chance de voir le magnifique intérieur :
    Il me fallu finalement dire adieu à cette ville au bout d'une seule journée, ce que je fis face à l'église Santa Maria delle Grazie, entièrement retravaillée en 1492 :
    Vous vous doutez aisément que je ne suis pas très fier de moi, concernant ces photos... Mais j'y revendrai deux ans plus tard, en 2008, et ce sera beaucoup mieux réussi. En attendant, j'allais comme d'habitude finir ce long passage de 2006 dans le refuge des Drayères - mais vous pouvez bien sûr retourner à n'importe quelle autre date de votre choix !
    Je sais que cette date vous semble déjà bien lointaine, et le pays un peu étranger... Néanmoins, les montagnes ne changent pas beaucoup, et cela vous incitera peut-être à laisser un commentaire - ce dont je serais bien sûr ravi, même en 2025 :

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    lundi, avril 14, 2025

    2006 (AOÛT) : TRENTINO / RIFUGIO SELVATA / CIMA BRENTA / RIFUGIO PEDROTTI / CIMA TOSA / CIMA SELLA (ITALIE)

    Que se passe-t-il aujourd'hui ? Et bien, c'était mon ultime jour dans les Dolomites, et je quittais alors le Lago di Molveno (823m) :

    Pour m'engager vers le Rifugio Croz dell'altissimo, traversant de nombreuses grottes, juste sous  Cima dei Lasteri (2459m) :
    J'arrivais enfin à Croz dell'Altissimo (2339m), et je pouvais voir le refuge du même nom (1430m) - dans lequel je ne pense pas que je dormis :
    Avec un temps peu clément, je passais au pied de Castelletto dei Massodi (2136m) :
    Juste avant d'arriver au Rifugio Selvata (1630m), un peu plus haut que le précédent, et toujours accompagné de Croz dell'Altissimo : 
    Pour être honnête, l'on voyait surtout Croz dell'Altissimo et Castelletto dei Massodi, dans le chemin à suivre :
    Jusqu'à ce que l'on distingue finalement Cima Brenta Bassa (2809m), accompagnée du Rifugio Pedrotti :
    Et surtout la magnifique Cima Brenta Alta (2960m) :
    Le tout accompagné par le bien nommé Croz del Rifugio (2615m) :
    Je dormis donc dans le Rifugio Pedrotti (2491m) - pour être complet, le Rifugio Tommaso Pedrotti-Tosa :
    Lorsque j'en repartis le lendemain, je ne pouvais m'empêcher de passer par la Bocca di Brenta (2549m) - admirant pour une dernière fois le Rifugio Pedrotti :
    Et je découvrais également Campanile Alto (2937m), sous un temps toujours sublime :
    De même que Cima Brenta Alta, et les Crozzon di Brenta, juste au fond (3118m) :
    Après avoir franchi la Bocca di Brenta, je parvins enfin au Rifugio Brentei (2182m), idéalement situé :
    Duquel l'on pouvait aisément apercevoir Cima Tosa (3136m) :
    Sans même parler de la Via delle Bocchette, qui nous faisait enfin découvrir la vraie Cima Brenta, culminante, plus haute encore que ses deux jumelles (3150m) :
    Il ne nous restait plus, au final, qu'à découvrir Cima Sella (2919m) :
    Avant de se rabattre sur ce qui allait être le dernier de l'année, le Rifugio Tuckett (2272m)... D'où je profitais avec joie d'un dernier coucher de soleil :
    Il ne me restait plus qu'à me rendre au bien plus bas Rifugio Casinei (1825m) :
    Avant d'arrêter, au moins pour cette année 2006, la traversée des Dolomites... Maintenant, ce qu'il me reste à faire avant de rentrer en France, c'est de passer par Milan. Une ville qui a beaucoup de défauts, mais aussi de grandes et rares qualités, dont je ne citerai que la cathédrale, unique en Italie !
    Je sais que cette date vous semble déjà bien lointaine, et le pays un peu étranger... Néanmoins, les montagnes ne changent pas beaucoup, et cela vous incitera peut-être à laisser un commentaire - ce dont je serais bien sûr ravi, même en 2025 :

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