1998 (AOÛT) : REFUGE DES DRAYÈRES / POINTE DE NEVACHE / ROCHE CHÂTEAU / AIGUILLE ROUGE (FRANCE)

Comme prévu, me revoici pour un bref moment au refuge des Drayères, où je retrouvais mon ami gardien Gilles - lequel se livrait à son activité favorite :

Ce qui ne m'empêchait bien sûr pas de livrer un regard habituel à la main de Crépin, à la Pointe des Cerces, à la Pointe du Riou Blanc - et bien au fond de l'image, à la Ponte des Blanchets (2935m) :

Je faisais cela tout simplement depuis le Lac Long :

Avant de participer le soir venu à une fête fort agréable, où se trouvaient Nathalie, Claude, Christine et Gilles... Ce qui ne nous priva pas d'un coucher de soleil resplendissant :

Dès le lendemain, je partis sur la crête de Roche Château (2898m), nettement plus au nord, d'où l'on voyait bien sûr la Grande Ruine et la Meije, du massif de l'Oisans, mais plus étonnant les Rochers de Lau :

Inutile que je vous dise que je n'étais pas tout seul... En tous cas, c'était une belle promenade, dont nous profitions en regardant tout le panorama offert au sommet - sans oublier l'Aiguille Noire, située juste à droite, et un nouveau coucher de soleil sur la Main de Crépin :

Le jour suivant, nous partîmes bien plus au sud, histoire de voir la Roche Bernaude (3228m) et les trois sommets des Rois Mages (I Re Magi) - le tout avec une vue sur le massif bien plus agréable, étant donné le beau temps de rêve :

Nous continuâmes avec une petite pause au pied du Grand Adret, et particulièrement du Grand Séru - qui doit être l'une des montagnes les plus décourageante de la région :

Nous vîmes également la Pointe de l'Enfourant, et surtout toute la vallée étroite - définitivement en Italie -, ainsi que la bien nommée Aiguille Rouge (2545m) :

Nous nous reposions un petit peu au Lac Chavillon, en admirant au passage Pointe Balthazar, Pointe Melchior et Pointe gaspard - autrement dit I Re Magi :

Après quoi, nous passâmes au Combe des Thures, d'où nous avions une vue assez étonnante sur le Grand Séru et la Pointe Balthazar : 

Une fois revenus au lac Chavillon, nous ne voyions plus que l'Aiguille Rouge :

Qui allait définitivement nous marquer jusqu'à la fin avec sa puissante couleur, sur la route de Bardonecchia :

Je sais, il ne s'est pas passé grand chose dans ce massif, surtout comparé à Zermatt et au Cervin, où je me trouvait juste avant... En tous cas, c'est beaucoup mieux que ma randonnée suivante, qui s'est avérée une vraie catastrophe, niveau ambiance comme niveau temps !

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1997 (JUIN) : REFUGE DES DRAYÈRES / LES MUANDES / COL DU RIOU BLANC / LACS DE LA MADELEINE (FRANCE)

Curieusement, en cette année 1997, j'étais en vacances bien plus tôt que d'habitude... Autrement dit, avant de repartir avec Fufu pour l'Autriche, je m'offrais une petite fin du mois de juin au refuge des Drayères - et mine de rien, tout juste si l'on venait de sortir de l'hiver :

Meilleure preuve avec la Crête des Muandes, ainsi qu'au Pain de Sucre et à la Pointe du Riou Blanc... Des montagnes désormais bien connues, dont je m'abstiendrais de livrer la hauteur - sauf exception :

C'était toujours l'hiver au Lac du Grand Ban, ainsi qu'au Lac Long, d'où l'on pouvait voir le Col des Béraudes, la Main de Crépin et la Pointe des Cerces... Ainsi que le célèbre Pain de Sucre :

L'une des rares personnes que je rencontrais durant ce bref séjour fut Christine - l'amie de Gilles le gardien -, en train d'accompagner sous la pluie battante les trois chevaux Jazzy, Margot et Yorga :

Heureusement, il s'agissait d'un temps assez rare... Meilleure preuve avec ma vue sur le Col et la Pointe du Riou Blanc, accompagnés de la Main de Crépin et du Pain de Sucre :

On avait l'air de revenir en été... Mais une fois au Lac des Muandes, je me rendis compte que l'on n'y était pas encore rendu, surtout si l'on contemplait tout le massif de l'Oisans - Barre des Ecrins, Grande Ruine, Pavé, et la Meije :

Il y avait beaucoup de panoramas possibles : tout d'abord, Pic et Mont Thabor, suivi de Roc de Valmeinier... Ensuite venait le lointain refuge italien I Re Magi, avec au sommet Roche Bernaude :

Un autre jour, je me trouvais à un endroit où je crois que je n'étais encore jamais monté, les Lacs de la Madeleine (2629m)... Et là, on était toujours en hiver :

C'est très beau, n'est-ce pas ? Particulièrement la Barre des Ecrins :

J'en avais la même sensation au Lac Sorcier, lui aussi très froid :

Mais par bonheur, je n'y étais pas tout seul... Il y avait avec moi Daran, qui semblait même se sentir fier d'être devant la Main de Crépin :

Bref aperçu du Pic de la Moulinière (3073m), à côté de la Pointe des Cerces :

Après quoi, l'on redescendit avec Daran, à coté de la méconnue cabane de l'Ours (2483m), en face de la Main de Crépin :

Allez, dernier panorama circulaire. Tout d'abord avec Tête de la Cassille, Pointe des Cerces, Roche Château, Barre des Ecrins... Ensuite Grande Ruine, Pic Gaspard, la Meije :

Puis l'Aiguille du Goléon, les Aiguilles d'Arves, le Pic et le Mont Thabor... Et enfin Grand Aréa, Crête du Diable et Tête de la Cassille :

Oui, je sais, ce n'est pas extrêmement intéressant, mais en tous cas, c'était fort beau, et rien que pour ça, je suis prêt à y revenir n'importe quand... Quoi qu'il en soit, j'allais retrouve Fufu au mois d'août, et nous allions repartir - une fois de plus - en Autriche, plus particulièrement vers le massif du Rätikon, au sud de Bregenz et de Bludenz !

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