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  • jeudi, février 27, 2025

    1998 (AOÛT) : POINTE DE ROCHACHILLE / LAC BIRON / REFUGE DES DRAYÈRES (FRANCE)

    Dois-je vraiment vous raconter ce que j'ai fait, durant cette dernière semaine de vacances en 1998 ? Et bien, je me rendais tout d'abord à Villar d'Arène, quitte à marcher un petit peu pour apercevoir la naissance de la Romanche - assez impressionnante, il faut le dire :

    Puis j'arrivais progressivement face au glacier de l'Homme et à celui du Lautaret, bien plus vaste, situés tous deux non loin du bien connu Pic de la Chamoissière (3207m) :
    De là, je distinguais très bien la Roche Méane (3712m) - appelée parfois la Tour Carrée... Non sans apercevoir l'une des premières montagne que j'avais escaladée en 1984, lors de mon initiation en ce domaine, le Pic Nord des Cavales (3362m) :
    Mais bon, il s'agissait là du grand maximum que je pouvais faire... Parce que le mois de septembre arrivait bientôt, et que je me rendais du coup au refuge des Drayères, face à la Pointe des Cerces et à la Main de Crépin - pour ainsi dire déjà en automne :
    C'est très beau, n'est-ce pas ? Néanmoins, avec le temps, il restait assez peu de possibilités... Parmi lesquelles je choisissais tout d'abord le Lac Biron, puis ensuite de monter jusqu'à la Pointe de Rochachille à 2799m - évidemment pas tout seul, avec Milan :
    Certes, il ne restait plus grand chose à faire après cela... Sauf peut-être à participer à cette fiesta de fin août, qui du coup marquait fort bien la fin de vacances : 
    Sauf qu'attention, il ne fallait absolument rien dire contre ces amis corses - car ils venaient tous de cette île pour rendre visite à Gilles le gardien, apparemment très bien inspirés... Voilà, c'était un article très court, mais qui marque cette fois-ci définitivement la fin de 1998, et nous prépare la prochaine année - de façon fort inattendue en plein hiver, au mois de février !

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    mercredi, février 26, 2025

    1998 (AOÛT) : AIGUILLES D'ARVES / CIME DE LA VALETTE / PLATEAU D'EMPARIS (FRANCE)

    Comme je vous l'avais déjà dit, il existe à chaque expérience décevante - celle au Grand Pic de Belledonne, très récemment - son opposition absolue : une très belle marche, peu fatigante, faite avec sa propre femme, et en plus sous un temps absolument sublime...

    Je sais, ce n'était pas flagrant au début, lorsque nous partions du petit village Saint Sorlin d'Arves, situé en Savoie, et paré de ses belles Aiguilles, dont l'on préférait la plus basse, la Tête de Chat  (3364m) :

    Mais cela revint très vite avec une météo parfaite, nous donnant à voir la Cime du Grand Sauvage (3217m), accompagnée par l'Aiguille Rousse (2680m), fort bien nommée :
    L'on voyait bien mieux la Cime du Grand Sauvage (3217m), une fois remonté au-dessus des deux lacs, Blanc et Bramant :
    Enfin, après y avoir passé quelques heures, nous parvînmes à la fameuse Cime de la Valette (2858m), où Fufu avait l'air très contente :
    Et de fait : on avait une vue splendide sur toutes les Alpes, notamment de l'Oisans... Mais l'on découvrait aussi le Pic de l'Etendard (3464m), la Cime de la Barbarate, et l'étrange Grand Agnelin (2968m) - baptisé également Cime des Torches :
    A la suite de cette montée, nous finissions par redescendre, laissant la Cime de la Valette sur notre droite - mais découvrant le paysage stupéfiant de l'ardoisière, directement issue des Aiguilles d'Arves :
    De là, l'on pouvait sans problème voir la Meije, le Râteau, et le glacier de la Girose... Ainsi que bien plus loin la Roche de la Muzelle (3465m), assez orgueilleuse dans son genre :
    Heureusement, ce n'était pas le cas de Fufu, qui marchait avec entrain devant le Pic de l'Etendard... Avant de parvenir au minuscule village de Besse (153 habitants !), fort connu pour ses toits de lauze :
    Sur la gauche, nous admirions une dernière fois la Roche de la Muzelle, avant de nous préparer à une course sur le plateau d'Emparis :
    L'on voyait encore les Aiguilles d'Arves, accompagnée du tout petit chalet Barthélemy :
    Puis tout naturellement, une nouvelle vue sur le Râteau, le Pic de la Grave, la Meije... Sans oublier le très beau Lac Lérié (2450m) :
    Ainsi parvenions nous finalement au village du Chazelet, situé seulement à 3 km de La Grave... Où nous nous offrions une nuit d'hôtel, accompagné d'un éloquent coucher de soleil :
    Alors, qu'en pensez-vous ? C'est bien mieux que la traversée de Belledonne en 1998, en tous cas... Cependant, on arrivait bientôt fin août, et à part un ultime article sur le refuge des Drayères, je crois qu'il faudra désormais se préparer à 1999 !

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    mardi, février 25, 2025

    1998 (AOÛT) : GRAND PIC DE BELLEDONNE / LACS DES SEPT LAUX / REFUGE JEAN COLLET (FRANCE)

    Je vous avais prévenu : non seulement il s'agissait d'une randonnée assez déplorable, ceci dû au temps comme à l'ambiance générale, mais aussi d'un coin très peu fréquenté au mois d'août... Où la station de Chamrousse - située en Isère, bien au nord des Hautes-Alpes - apparaissait comme une ville morte, tellement c'était désertique :

    Toutefois, cela ne nous empêcha pas de démarrer, tout d'abord par les Lacs Robert, qu'ornait à gauche le Grand Sorbier (2526m), et à droite le Petit et Grand Van (2448m)... Pour parvenir ensuite au Lac Longuet :
    Première nuit dans le refuge de la Pra (2105m), plutôt sympathique, juste un peu au sud du Lac du Crozet :
    L'on distinguait très mal Chamechaude, en Chartreuse, un peu mieux  Grenoble, capitale de l'Isère... Et nous avions devant nous les Dents du Loup (2375m), qui me rappelaient la Main de Crépin, dans la Clarée :
    Avant de parvenir sous la Pointe de la Sitre (2195m), fort proche du Lac de la Grande Sitre - à peine visible sur ces deux photos :
    Enfin, le Grand Pic de Belledonne (2977m), le plus haut du massif encore visible sous cette météo - comme le constatait Dominique :
    Hélas, cela ne devait pas durer bien longtemps, et nous nous en rendîmes rapidement compte face à la Pointe des Excellences, au Rocher de l'Homme et au Col de Roche Noire... Juste avant d'arriver au refuge Jean Collet (1950m), exceptionnellement bien situé :
    Cela s'aggravait face au Rocher de l'Homme (2755m) :
    Encore plus au Lac de la Coche, accompagné quelques mètres plus haut par le Pas de la Coche (1989m) :
    Cependant, ça avait l'air d'aller un peu mieux sous la Tête de Chalvet et Rissiou (2622m) - d'où nous avions une vue intégrale sur le massif de Belledonne au complet :
    L'on voyait bien le Grand Charnier et le Grand Pic de Belledonne, depuis le Lac de la Sagne (2061m) - qui marquait l'entrée sur les Lacs des Sept Laux, un lieu mythique dans cette région :
    Nous nous promenions, face à un temps de nouveau négatif, au Lac de la Corne, bien marqué par le Pic Bunard (2560m)... Puis l'on découvrait le Rocher Blanc, cerné à droite par Pyramide (2839m) :
    Nous étions finalement arrivés au Lac Cottepens - le plus grand des Sept Laux -, mais nous ne pouvions malheureusement pas dormir au refuge des Sept Laux, à l'époque en travaux :
    Nous repartîmes donc vers le Col de la Croix (2530m) - avec certes un air assez peu enthousiaste de Dominique, face à ces cairns énigmatiques nombreux sur le passage :
    Le tout, juste avant d'arriver au refuge de Combe Madame (1784m), ou l'on passa notre dernière nuit :
    Est-ce que cela nous a enchanté ? Je ne vais surprendre personne en disant que non, et d'ailleurs, je ne me suis plus jamais rendu dans cette région - dont la météo était en plus décourageante... Mais soyez rassuré, il existe beaucoup d'endroits bien plus beaux que celui-ci, et je compte vous y emmener bientôt !

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