2008 (AOÛT) : TYROL / GIGALITZ / KASSELER HÜTTE / LAPENSCHARTE / GREIZER HÜTTE / INNSBRUCK (AUTRICHE)

Voilà, nous parvînmes enfin à Grüne Wand Hütte, après avoir quitté l'envoutante ville de Mayrhofen :

En quittant cet endroit, j'avais déjà l'occasion d'admirer quelques points élevés du Zillertal, qu'il s'agisse du très haut Grosser Löffler (3379m), ou encore de Gigalitz (3001m) :

Mais je m'engageais tout d'abord à monter vers Kasseler Hütte, et même si cela était compensé par une entrevue avec Lapenscharte, le problème principal résidait avant tout dans les cours d'eau - parfois assez difficiles à franchir :

Toujours est-il que j'arrivais finalement à Kasseler Hütte (2177m) :

Où je passais une bonne nuit, malgré le temps plutôt incertain... Le lendemain, il me fallait toujours souffrir des problèmes liés à l'eau - ce qui d'une certaine façon semble logique, puisqu'il s'agissait d'une des rivières de l'Inn, fleuve qui se desservait à son tour dans le Danube :

Je revoyais en descendant le chemin de Kasseler Hüte, et je continuais de lutter comme je le pouvais contre l'eau aux environs de Stilluptal : 

Tout cela pour admirer, sur la droite de Lapenscharte, le fameux Gigalitzturm (2978m) - bien mieux représenté que lors de mes débuts :

Il me fallait alors prendre place à Greizer Hütte (2227m) :

Un refuge de 72 places, où il y avait cette règle assez étrange sur l'heure du coucher - puisque normalement, c'est plutôt 22h ou 21h... Meilleure preuve dans cette soirée bien animée :

Le jour suivant, toujours sous le grand glacier Floitenkees, il me fallait de nouveau prendre plus ou moins parti pour l'eau vive, laquelle s'avérait parfois vraiment délicate à franchir :

Heureusement, cela allait déjà mieux une fois rendu à Floitental :

Exception faite de cette avalanche impressionnante, qui eut lieu à Floitental en 2008 d'une façon très récente :

Toujours est-il que j'avais alors terminé ma belle randonnée dans le Zillertal... Ceci pour prendre une fois de plus le train, et débarquer une nouvelle fois fans la gare d'Innsbruck :

J'ai naturellement vu en premier l'endroit le plus connu d'Autriche dans le monde entier, le Goldenes Dachl... Mais vu que je n'y restait qu'une seule journée, cet article est beaucoup moins bien détaillé que celui que j'ai fait en 2006, bien plus longtemps à Innsbruck :

Meilleure preuve, je n'ai mangé le soir même qu'au Pfefferkorn - un plat qui n'a pas l'air de vous étonner, hélas moi non plus :

Heureusement, il me restait ainsi beaucoup de temps pour observer le célèbre Goldenes Dachl - avec bien plus de précision que d'habitude :

Ce qui n'était pas bien difficile - pourtant un samedi soir à 20h !

En ai-je maintenant assez de l'Autriche ? Absolument pas... Mais comme toutes ces vacances ne durent qu'un mois, il fallait aussi que je consacre un peu de temps à la belle Italie - où je n'étais pas revenu depuis 2006, ce qui va me permettre de connaître beaucoup mieux la ville de Trento !

REVOIR TOUTES LES RANDONNEES, DE 1984 À 2010

2006 (AOÛT) : ZILLERTAL / GROSSER LÖFFLER / LAPENSCHARTE / MÖRCHNERSCHARTE / BERLINER HÜTTE (AUTRICHE)

Comme je vous l'avait déjà dit, j'ai enfin quitté le charmant village de Mayrhofen, pour me rendre dans la vallée de Zillertal - la dernière région à intégrer le Tyrol, en 1816...  Il est sûr qu'au départ, le fait de passer obligatoirement par le grand barrage de Stillup (1115m) n'est pas très encourageant :

Mais cela change très vie, dès que l'on se retrouve face à différentes cascades, qui proviennent toutes de Keilbachspitze (3094m) :

Et qu'à peine 300m plus haut, on se détend un peu à Grüne Wand Hütte (1438m) :

En tous cas, c'est ce que je faisais, avant de continuer sous Löflerbach - toujours aux alentours de Stilluptal :

Avant d'arriver deux heures plus tard, comme prévu, à Kasseler Hütte (2178m) - refuge qui par sa position ressemble étrangement à Karwendelhaus, dans lequel nous étions déjà passé :

De là, l'on pouvait voir l'un des plus hauts pics de Zillertal, Grosser Löffler (3379m)... Et ceci était sans problème sous ce temps sublime, que ce soit en fin de journée, en pleine nuit, ou au petit matin :

Il n'empêche : je n'étais pas assez doué pour tenter l'escalade de cette montagne... Je me tournais donc vers Schuhscharte, et ce qui devait être mon premier col, Lapenscharte :

Je passais toujours sous d'impressionnants sommets, tel Floitenkees (3195m) et son large glacier :

Mais je finis quand même par parvenir à Lapenscharte (2700m), bien plus accessible :

Ce qui ne m'empêcha pas de voir le second col à passer, bien plus difficile, Mörchnerscharte :

Je m'en distrayais en admirant au passage le fascinant Gigalitzturm (2978m)... Et en me reposant pour un temps dans la bien située Greizer Hütte (2227m) :

Dès le lendemain, je me lançais donc vers Mörchnerscharte... Qui n'était pas si difficile que cela, mais se trouvait parfois agrémenté de chaînes dignes des Dolomites :

Je passais toujours sous Grosser Löffler et Schwarzerstein (3369m) :

Mais je finis malgré tout à parvenir à Mörchnerscharte (2872m)... Même si la photo laisse supposer que je ne suis pas dans la meilleure des formes qui soit :

Il me restait cependant un point encore plus haut à mentionner, Mörchnerschartekopf :

Après quoi, il me restait juste à découvrir Berliner Spitze - surnommée parfois Hornspitze (3254m)... Et à profiter au mieux du refuge attenant, Berliner Hütte (2042m), tout à la fois le plus grand, le plus célèbre et le plus ancien du Zillertal :

Ce n'était pas rien, n'est-ce pas ? Meilleure preuve, je continuerais dans Zillertal encore un petit moment, jusqu'à ce que j'en ai atteint la fameuse frontière italienne... Après quoi, je me trouverais avec grand plaisir à Vipiteno, une petite ville pas du tout désagréable !

REVOIR TOUTES LES RANDONNEES, DE 1984 À 2010