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  • vendredi, février 28, 2025

    1999 (FEVRIER) : REFUGE DES DRAYÈRES / COL DES MUANDES / GRANDE TEMPÊTE (FRANCE)

    Pour ainsi dire, cela remonte à décembre 1985, où j'avais pour la première fois pratiqué le ski de randonnée dans cette vallée de la Clarée... C'était donc tout neuf, 14 ans plus tard, lorsque je décidais de me rendre à nouveau dans cet endroit, d'où l'on distinguait très bien la côte de Névache, la Pointe des Cerces et la Main de Crépin depuis le minuscule village de Jadis :

    Comme mon épouse ne pratiquait pas du tout le ski, je partais pour une fois avec une autre amie, Dominique, avec qui nous montions tranquillement au refuge des Drayères... Pour ensuite nous orienter, sans grand effort, vers les Rochilles :
    De cet endroit, l'on voyait naturellement la Main de Crépin, le Pain de Sucre et la Pointe des Cerces... Et beaucoup plus loin de nous, le fameux Grand Galibier (3228m) :
    Juste avant d'arriver aux Rochilles, l'on avait encore un point de vue sur la Pointe de la Fourche et le Pic de la Ceinture... Avant que mademoiselle ne s'offre une bonne cigarette :
    Au cours de la descente, ultime vision du Pic du Lac Blanc et du Pain de Sucre, toujours particulier :
    Avant de bien dormir au refuge des Drayères... Où l'on voyait le lendemain le soleil se lever, comme à son habitude sur la Main de Crépin :
    Nous partîmes alors pour une balade plus sérieuse, et l'on se livra à une petite pause au Lac des Muandes, avant d'arriver au Col des Muandes proprement dit... Au fond, on distinguait nettement I Re Magi :
    De fait, c'était absolument magnifique, les surprises de la neige :
    L'on entreprît alors la descente, face à la Barre des Ecrins... Suite à quoi Dominique semblait fort bien apprécier le dîner :
    Le jour suivant, l'on observait toujours la vallée des Drayères, face sud :
    Mais nous partîmes cette fois côté nord, avec les Rochers du Lau (2846m), et Roche Château en perspective :
    Nous fîmes une petite pause au Lac Long, puis d'après ce que laisse supposer la photo, nous tentions la Grande Tempête (3002m)... Mais je ne crois pas que ça s'est produit, en réalité :
    En fait, je pense que nous admirions tout l'Oisans... Mais finalement de la Crête des Muandes, ce qui était bien assez pour notre niveau de ski :
    Allez, il ne nous restait plus qu'à faire une dernière pause... Avant de redescendre vers le refuge, avec une météo de plus en plus déplorable :
    Pour tout dire, nous ne connûmes plus que le brouillard, et ceci était nettement frais, jusqu'au bout :
    Y compris le lendemain, où tout en redescendant du refuge des Drayères, nous passions comme à l'aller au Jadis (1864m) :
    Néanmoins, bien qu'assez court, c'était très bien, me donnant à voir les environs de ce refuge bien connu sous un tout autre aspect... Je reviendrais d'ailleurs très bientôt ici, au mois de juillet, avant de partir en direction d'un pays que je n'avais vu qu'une seule fois, l'Italie - cette fois-ci en direction des Dolomites !

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    jeudi, février 27, 2025

    1998 (AOÛT) : POINTE DE ROCHACHILLE / LAC BIRON / REFUGE DES DRAYÈRES (FRANCE)

    Dois-je vraiment vous raconter ce que j'ai fait, durant cette dernière semaine de vacances en 1998 ? Et bien, je me rendais tout d'abord à Villar d'Arène, quitte à marcher un petit peu pour apercevoir la naissance de la Romanche - assez impressionnante, il faut le dire :

    Puis j'arrivais progressivement face au glacier de l'Homme et à celui du Lautaret, bien plus vaste, situés tous deux non loin du bien connu Pic de la Chamoissière (3207m) :
    De là, je distinguais très bien la Roche Méane (3712m) - appelée parfois la Tour Carrée... Non sans apercevoir l'une des premières montagne que j'avais escaladée en 1984, lors de mon initiation en ce domaine, le Pic Nord des Cavales (3362m) :
    Mais bon, il s'agissait là du grand maximum que je pouvais faire... Parce que le mois de septembre arrivait bientôt, et que je me rendais du coup au refuge des Drayères, face à la Pointe des Cerces et à la Main de Crépin - pour ainsi dire déjà en automne :
    C'est très beau, n'est-ce pas ? Néanmoins, avec le temps, il restait assez peu de possibilités... Parmi lesquelles je choisissais tout d'abord le Lac Biron, puis ensuite de monter jusqu'à la Pointe de Rochachille à 2799m - évidemment pas tout seul, avec Milan :
    Certes, il ne restait plus grand chose à faire après cela... Sauf peut-être à participer à cette fiesta de fin août, qui du coup marquait fort bien la fin de vacances : 
    Sauf qu'attention, il ne fallait absolument rien dire contre ces amis corses - car ils venaient tous de cette île pour rendre visite à Gilles le gardien, apparemment très bien inspirés... Voilà, c'était un article très court, mais qui marque cette fois-ci définitivement la fin de 1998, et nous prépare la prochaine année - de façon fort inattendue en plein hiver, au mois de février !

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    mercredi, février 26, 2025

    1998 (AOÛT) : AIGUILLES D'ARVES / CIME DE LA VALETTE / PLATEAU D'EMPARIS (FRANCE)

    Comme je vous l'avais déjà dit, il existe à chaque expérience décevante - celle au Grand Pic de Belledonne, très récemment - son opposition absolue : une très belle marche, peu fatigante, faite avec sa propre femme, et en plus sous un temps absolument sublime...

    Je sais, ce n'était pas flagrant au début, lorsque nous partions du petit village Saint Sorlin d'Arves, situé en Savoie, et paré de ses belles Aiguilles, dont l'on préférait la plus basse, la Tête de Chat  (3364m) :

    Mais cela revint très vite avec une météo parfaite, nous donnant à voir la Cime du Grand Sauvage (3217m), accompagnée par l'Aiguille Rousse (2680m), fort bien nommée :
    L'on voyait bien mieux la Cime du Grand Sauvage (3217m), une fois remonté au-dessus des deux lacs, Blanc et Bramant :
    Enfin, après y avoir passé quelques heures, nous parvînmes à la fameuse Cime de la Valette (2858m), où Fufu avait l'air très contente :
    Et de fait : on avait une vue splendide sur toutes les Alpes, notamment de l'Oisans... Mais l'on découvrait aussi le Pic de l'Etendard (3464m), la Cime de la Barbarate, et l'étrange Grand Agnelin (2968m) - baptisé également Cime des Torches :
    A la suite de cette montée, nous finissions par redescendre, laissant la Cime de la Valette sur notre droite - mais découvrant le paysage stupéfiant de l'ardoisière, directement issue des Aiguilles d'Arves :
    De là, l'on pouvait sans problème voir la Meije, le Râteau, et le glacier de la Girose... Ainsi que bien plus loin la Roche de la Muzelle (3465m), assez orgueilleuse dans son genre :
    Heureusement, ce n'était pas le cas de Fufu, qui marchait avec entrain devant le Pic de l'Etendard... Avant de parvenir au minuscule village de Besse (153 habitants !), fort connu pour ses toits de lauze :
    Sur la gauche, nous admirions une dernière fois la Roche de la Muzelle, avant de nous préparer à une course sur le plateau d'Emparis :
    L'on voyait encore les Aiguilles d'Arves, accompagnée du tout petit chalet Barthélemy :
    Puis tout naturellement, une nouvelle vue sur le Râteau, le Pic de la Grave, la Meije... Sans oublier le très beau Lac Lérié (2450m) :
    Ainsi parvenions nous finalement au village du Chazelet, situé seulement à 3 km de La Grave... Où nous nous offrions une nuit d'hôtel, accompagné d'un éloquent coucher de soleil :
    Alors, qu'en pensez-vous ? C'est bien mieux que la traversée de Belledonne en 1998, en tous cas... Cependant, on arrivait bientôt fin août, et à part un ultime article sur le refuge des Drayères, je crois qu'il faudra désormais se préparer à 1999 !

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