2004 (AOÛT) : LOMBARDIE / BOCCHETTA DI CASPOGGIO / RIFUGIO MARINELLI / PUNTA MARINELLI (ITALIE)

Pour le première fois de ma vie, je reprenais un chemin que j'avais déjà parcouru en 2002 - et non sans plaisir, vu le temps qui régnait... Je découvrais quelques nouvelles choses, comme Pizzo Scalino (3323m), ou encore cet arbre complètement isolé :

Mais la plupart du temps, je revoyais des endroits que je connaissais déjà, qu'il s'agisse du gigantesque barrage de Campo Moro, ou bien plus agréablement du Rifugio Roberto Bignami (2401m) :

D'où l'on pouvait, éventuellement, gravir Sasso Moro (3108m) :

Mais ce n'était pas mon cas... Je préférais, bien plus calme, admirer le Ghiacciaio et le Lago di Fellaria - parfois surnommé "la petite Islande" :

Ou alors, contempler vaguement le panorama actuellement visible, allant de Sassi Bianchi (2781m) à Passo Canciano : 

Je m'engageais enfin dans quelque chose de plus sérieux, le passage de Bocchetta di Caspogio (2983m), qui était tout simplement sublime :

De là, j'avais une vue non seulement sur la Vedretta de Scerscen, mais également sur Piz Sella et Piz Roseg (3935m), tous deux à cheval entre l'Italie et la Suisse :

Plus ma vision de l'autre côté de Bocchetta di Caspoggio, bien plus enneigée :

Je parvins finalement au Rifugio Marinelli Bombardieri (2813m) - dont je n'ai hélas pas tiré de bonnes photos, comparées à celles de 2002 :

Heureusement, quelques larrons avaient bien l'air de faire ce qu'ils voulaient... Tout cela avant que le soleil ne se couche, bien calme, sur la Vedretta de Scerscen :

Que fis-je le soir même ? Pas grand chose, à part contempler Cime di Musella (3088m) et Monte Disgrazia (3678m) :

Le lendemain, je voyais toujours Monte Disgrazia, accompagné cette fois-ci par Pizzo Cassandra (3226m)... Et pour finir, Ghiacciaio di Fellaria, avec une orientation particulière :

Et bien sûr, sa très belle Virgine, sous un ciel magnifique :

Voilà, je suis désolé d'avoir repris un trajet, que j'avais déjà parcouru... Mais ne vous inquiétez pas, cela ne se reproduira plus, durant au moins un certain temps !

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2002 (AOÛT) : LOMBARDIE / PASSO DI CAMPAGNEDA / RIFUGIO CARATE BRIANZA / PUNTA MARINELLI / SONDRIO (ITALIE)

Comme je vous l'avais déjà dit - encore que pensant nettement plus à un temps très agréable -, je poursuivais mon parcours en Lombardie, par le Rifugio Zoia (2021m) :

Légèrement plus haut, deux barrages très puissants se trouvaient là... La Diga di Campo Moro et la Diga di Alpe Gera, en fait la propriété de Valmalenco :

On peut trouver cela assez laid, mais ils offrent un beau point de vue alentour, que ce soit Sasso Rosso (3481m), ou bien le plus calme Val Poschiavo :

Je franchissais bientôt le Passo di Campagneda (2626m) :

Qui me donnait accès à ces lacs superbes, Laghi di Campagneda :

De cet endroit, l'on voyait toujours Val Poschiavo - et au loin, Piz Bernina, ce qui nous rappelait que l'on n'était pas non plus loin de la Suisse :

Mais l'on commençait à prendre la route vers le Rifugio Carate Brianza (2636m) - où nous avions l'intention de passer la nuit :

Mais il était encore un peu tôt pour ça... Et ceci me laissa l'occasion de faire plusieurs découvertes, notamment celle-ci, où il apparaissait comme un invité peu farouche :

Puis ce vague aspect sur le Rifugio Marinelli Bombardieri, de 160 places... Et tant qu'à faire, un coup d'œil sur l'hélicoptère qui transportait cet homme :

Malgré le temps assez instable, se laissaient voir Cime di Musella (3088m)... Et toute la Vedretta di Caspoggio :

Ensuite, l'on distinguait nettement Punta Marinelli, très raisonnable, et Piz d'Argento, beaucoup plus difficile (3945m) :

Au final, nous arrivâmes enfin au Rifugio Marinelli Bombardieri (2813m), dans lequel nous dormions :

Dès le lendemain, je me trouvais face au Piz Roseg (3935m) :

Ensuite - mais pas tout seul -, me voici à Punta Marinelli (3182m) :

De là, l'on admirait la Vedretta di Scersen, et Piz Bernina (4048m), tous deux en Suisse :

Jusqu'à l'on reprenne le train, voyant au passage quelques vergers, avant que nous ne parvenions à la ville de Sondrio

Certes, je serais bien resté un ou deux jours... Mais quelque chose m'en empêchait, et vous savez quoi ? Et oui, mon récent ami, qui préparait toute une montée sur Grigna, le point culminant de son coin de Lierna... Donc, pas question que je rentre immédiatement à Paris !

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